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C
Le principe : L'eau est chauffée par la fumée (à l’extérieur du tuyau de celle-ci) puis grâce au Thermosiphon va se stocker dans un chauffe-eau plus haut. Un tube en cuivre enroulé autour du tuyau de fumée se raccorde au chauffe-eau qui est situé au-dessus, puis l'eau la moins chaude redescend par le retour et est réchauffée à nouveau. ATTENTION : le chauffe-eau doit IMPÉRATIVEMENT être plus haut que le poêle à bois. Pour réaliser ce travail il est indispensable de savoir souder ou braser car toutes les soudures doivent être étanches ! Dans le pire des cas trouver un professionnel qui vous fera les soudures.  +
Le principe : L'eau est chauffée par la fumée (à l’extérieur du tuyau de celle-ci) puis grâce au Thermosiphon va se stocker dans un chauffe-eau plus haut. Un tube en cuivre enroulé autour du tuyau de fumée se raccorde au chauffe-eau qui est situé au-dessus, puis l'eau la moins chaude redescend par le retour et est réchauffée à nouveau. ATTENTION : le chauffe-eau doit IMPÉRATIVEMENT être plus haut que le poêle à bois. Pour réaliser ce travail il est indispensable de savoir souder ou braser car toutes les soudures doivent être étanches ! Dans le pire des cas trouver un professionnel qui vous fera les soudures.  +
Les panneaux solaires thermiques sont très performants pour profiter du rayonnement solaire. Sous nos latitudes le soleil dispense jusqu'à 1000 Watts par m². Avec des panneaux photovoltaïques on arrive à capter 200 W/m², en thermique on monte à 800W/m², soit quatre fois plus ! Les panneaux solaires thermiques sont donc bien plus rentables que les panneaux photovoltaïques et bien moins coûteux.  La solution « faite maison » que nous propose Eric Lafond dépasse allègrement les 500W/m² pour un prix de revient de 15€ le m². Ce [http://ptaff.ca/soleil/ site] permet notamment de connaître la puissance solaire reçue en fonction de la position géographique et de la saison. Les panneaux solaires thermiques sont particulièrement intéressant pour produire l’eau chaude sanitaire, on parle dans ce cas de chauffe-eau solaire. Pour un foyer de 2 personnes, 3 ou 4m² de panneaux solaires thermiques permettent de couvrir 90% des besoins en eau chaude à l’année. La résistance du ballon prend le relais les jours sans soleil. S’il y a plus d’habitants et donc plus d’eau consommée il faut augmenter la surface de panneaux, par exemple 6m² pour 6 personnes. Le système qu'Eric nous propose, au complet, panneaux fait maison, tuyaux d’alimentation, liquide caloporteur, ballon solaire, circulateur et régulateur est rentabilisé en deux à trois ans. Les panneaux installés chez lui fêtent leur dix-huitième année. Ces panneaux thermiques sont conçus de la même manière que ceux du marché, un isolant et une vitre prennent en sandwich un capteur solaire parcouru par un fluide caloporteur. Dans notre cas, le capteur solaire est la grille que l’on trouve à l’arrière des frigos.  L’isolant est fourni par les portes de ces mêmes réfrigérateurs. La vitre est récupérée sur du double vitrage. Les frigos sont nombreux en décharges ou recycleries, les doubles-vitrages quant à eux encombrent les verriers. Un grand merci à Riké, qui nous a partagé son savoir-faire, du haut de ses 20 ans d’expériences dans le solaire thermique ainsi qu’aux membres du collectif du Grand Moulin qui nous ont accueillis au stage qu’ils organisaient, particulièrement à Karine, Sylvain et Pascal. Merci également à Jean-Loup pour son accompagnement sur la découpe du verre et les brasures ainsi qu’à tous les autres volontaires du chantier participatif pour leur aide. '''Retrouvez dans [https://lowtechlab.org/assets/files/rapport-experimentation-habitat-low-tech-low-tech-lab.pdf ce rapport] une analyse à l'usage de ce chauffe-eau solaire, ainsi que des 11 autres low-techs expérimentées lors du projet En Quête d'un Habitat Durable.'''  
Les panneaux solaires thermiques sont très performants pour profiter du rayonnement solaire. Sous nos latitudes le soleil dispense jusqu'à 1000 Watts par m². Avec des panneaux photovoltaïques on arrive à capter 200 W/m², en thermique on monte à 800W/m², soit quatre fois plus ! Les panneaux solaires thermiques sont donc bien plus rentables que les panneaux photovoltaïques et bien moins coûteux.  La solution « faite maison » que nous propose Eric Lafond dépasse allègrement les 500W/m² pour un prix de revient de 15€ le m². Ce [http://ptaff.ca/soleil/ site] permet notamment de connaître la puissance solaire reçue en fonction de la position géographique et de la saison. Les panneaux solaires thermiques sont particulièrement intéressant pour produire l’eau chaude sanitaire, on parle dans ce cas de chauffe-eau solaire. Pour un foyer de 2 personnes, 3 ou 4m² de panneaux solaires thermiques permettent de couvrir 90% des besoins en eau chaude à l’année. La résistance du ballon prend le relais les jours sans soleil. S’il y a plus d’habitants et donc plus d’eau consommée il faut augmenter la surface de panneaux, par exemple 6m² pour 6 personnes. Le système qu'Eric nous propose, au complet, panneaux fait maison, tuyaux d’alimentation, liquide caloporteur, ballon solaire, circulateur et régulateur est rentabilisé en deux à trois ans. Les panneaux installés chez lui fêtent leur dix-huitième année. Ces panneaux thermiques sont conçus de la même manière que ceux du marché, un isolant et une vitre prennent en sandwich un capteur solaire parcouru par un fluide caloporteur. Dans notre cas, le capteur solaire est la grille que l’on trouve à l’arrière des frigos.  L’isolant est fourni par les portes de ces mêmes réfrigérateurs. La vitre est récupérée sur du double vitrage. Les frigos sont nombreux en décharges ou recycleries, les doubles-vitrages quant à eux encombrent les verriers. Un grand merci à Riké, qui nous a partagé son savoir-faire, du haut de ses 20 ans d’expériences dans le solaire thermique ainsi qu’aux membres du collectif du Grand Moulin qui nous ont accueillis au stage qu’ils organisaient, particulièrement à Karine, Sylvain et Pascal. Merci également à Jean-Loup pour son accompagnement sur la découpe du verre et les brasures ainsi qu’à tous les autres volontaires du chantier participatif pour leur aide. '''Retrouvez dans [https://lowtechlab.org/assets/files/rapport-experimentation-habitat-low-tech-low-tech-lab.pdf ce rapport] une analyse à l'usage de ce chauffe-eau solaire, ainsi que des 11 autres low-techs expérimentées lors du projet En Quête d'un Habitat Durable.'''  
Le chauffe-eau décrit ci-dessous est inspiré du modèle présent au SERTA (Serviço de Tecnologia Alternativa) au Brésil. Elle fonctionne parfaitement dans un climat tropical ou chaud. Elle n'a pas encore été testée en région tempérée.  +
Le chauffe-eau décrit ci-dessous est inspiré du modèle présent au SERTA (Serviço de Tecnologia Alternativa) au Brésil. Elle fonctionne parfaitement dans un climat tropical ou chaud. Elle n'a pas encore été testée en région tempérée.  +
L’eau chaude sanitaire, utilisée pour les besoins ménagers et la toilette,représente une consommation importante. *en eau (potable): le volume d’eau consommé est très influencé par le comportement des utilisateurs. Selon [http://www.new-learn.info/packages/tareb/docs/ecb/ecb_ch5_fr.pdf la revue Plein soleil / C.N.R.S-EcoDev], en France , un logement standard de type 4 (trois chambres), utilisent de 100 à 150 litres d’eau chaude (à 60 [°C]) par jour. On observe cependant une augmentation constante des besoins en eau, et spécialement en eau chaude, de l’ordre de 3 à 4% par an (Enquête Gaz de France). *en énergie: le réchauffage de l’eau sanitaire représente près de 20% de la consommation d’énergie finale dans le secteur résidentiel (d'après l'Observatoire de l‘énergie). Transformer l’énergie solaire en chaleur est simple et efficient. Un panneau solaire thermique a un rendement 3 à 4 fois supérieur à celui d'un panneau photovoltaïque. Pourtant on utilise majoritairement l’électricité et des combustibles fossiles pour chauffer l'eau. Les systèmes de chauffage solaire de l’eau utilisent des panneaux solaires, appelés capteurs. Cela permet de recueillir la chaleur du soleil et de l’utiliser pour chauffer l’eau qui est stockée dans un ballon d’eau chaude. Il existe deux types de capteurs solaires thermiques pour le chauffage de l’eau: *tubes sous vide ; *capteurs plans, qui peuvent être fixés sur un mur ou un toit. Les capteurs sous vide sont réputés plus efficaces car souffrant moins de déperdition ( grâce  au vide d’air dans les tubes) que les capteurs plans. Ils sont néanmoins plus compliqué à réaliser en low-tech. Nous avons décidé de tester un capteur de type plan fonctionnant en thermosiphon, c'est-à-dire sans système de pompe. De plus, nous avons choisi de chauffer directement l'eau, sans passer par un liquide caloporteur qui transmettrait ses calories à l'eau dans le réservoir.  +
L’eau chaude sanitaire, utilisée pour les besoins ménagers et la toilette,représente une consommation importante. *en eau (potable): le volume d’eau consommé est très influencé par le comportement des utilisateurs. Selon [http://www.new-learn.info/packages/tareb/docs/ecb/ecb_ch5_fr.pdf la revue Plein soleil / C.N.R.S-EcoDev], en France , un logement standard de type 4 (trois chambres), utilisent de 100 à 150 litres d’eau chaude (à 60 [°C]) par jour. On observe cependant une augmentation constante des besoins en eau, et spécialement en eau chaude, de l’ordre de 3 à 4% par an (Enquête Gaz de France). *en énergie: le réchauffage de l’eau sanitaire représente près de 20% de la consommation d’énergie finale dans le secteur résidentiel (d'après l'Observatoire de l‘énergie). Transformer l’énergie solaire en chaleur est simple et efficient. Un panneau solaire thermique a un rendement 3 à 4 fois supérieur à celui d'un panneau photovoltaïque. Pourtant on utilise majoritairement l’électricité et des combustibles fossiles pour chauffer l'eau. Les systèmes de chauffage solaire de l’eau utilisent des panneaux solaires, appelés capteurs. Cela permet de recueillir la chaleur du soleil et de l’utiliser pour chauffer l’eau qui est stockée dans un ballon d’eau chaude. Il existe deux types de capteurs solaires thermiques pour le chauffage de l’eau: *tubes sous vide ; *capteurs plans, qui peuvent être fixés sur un mur ou un toit. Les capteurs sous vide sont réputés plus efficaces car souffrant moins de déperdition ( grâce  au vide d’air dans les tubes) que les capteurs plans. Ils sont néanmoins plus compliqué à réaliser en low-tech. Nous avons décidé de tester un capteur de type plan fonctionnant en thermosiphon, c'est-à-dire sans système de pompe. De plus, nous avons choisi de chauffer directement l'eau, sans passer par un liquide caloporteur qui transmettrait ses calories à l'eau dans le réservoir.  +
Lors des sorties en montagne on se retrouve parfois à subir le froid, notamment au niveau des extrémités du corp (mains, pied). Certaine personne peine vraiment à ce réchauffer, et la sortie ski de randonnée (pour éviter les remonté mécanique peu économique et écologique !) peu devenir un véritable calvaire ! Certain magasin de sport propose, pour nous apporter un peu de confort, des chaufferettes à main. Ce sont de petit contenant en plastique qui se mette à chauffer au alentour de 50°C lorsqu'on les actives. Certaine sont réutilisable pour des prix tournant autour de 20 € la paires et d'autre non, pour des prix autour de 15€ les 30. Dans une démarche low-tech complète on devrait d'abord ce questionner sur ce besoin de confort. Mais avant d'en arriver là, et pour ceux qui aurait peut-être déjà mener cette réflexion de fond mais qui éprouve encore le besoin d'avoir des chaufferettes. Il est possible d'en fabriquer soit même des réutilisables (Presque ! Voir discussion sur les problématiques à résoudre) et économiques (ça c'est validé !) !  +
Uno de los principales problemas de energía y salud de nuestro tiempo se refiere a la cocina. En muchos países en desarrollo, la tecnología más utilizada es la clásica chimenea de tres piedras. Ofrece rendimientos catastróficos (10 a 15% de eficiencia térmica al abrigo del viento, 5% sin hogar) y libera una gran cantidad de humos tóxicos en los hogares. De ello se derivan dos preocupaciones: El rendimiento energético es tan bajo que se necesita una gran cantidad de leña para preparar una comida. Esto conduce a una deforestación masiva en algunas partes del mundo; Plantea problemas de salud evidentes: el humo liberado causa problemas respiratorios en la población y degrada la comodidad de vivir en interiores; Existen tecnologías que utilizan la misma biomasa pero con mayores rendimientos. Aquí hay uno: El micro gasificador (o "micro gasifier" en inglés) es una tecnología de cocción de baja tecnología y muy económica. Ofrece mayores rendimientos que una chimenea convencional de tres piedras (alrededor del 35% de eficiencia térmica) cuando está bien fabricada, y aún mejores en su versión industrial optimizada (eficiencia térmica de alrededor del 45%). Es posible fabricar modelos muy simples pero poco optimizados, con latas de hojalata. Será útil, por ejemplo, para calentar agua, cocinar pequeñas cantidades de comida y para demostraciones/pedagogía. Existen modelos más complejos, más caros pero que permiten gestionar la potencia de la llama con una duración mejorada.  +
En el campo de la región de Sucre en Bolivia, las mujeres cocinan afuera haciendo un fuego al aire libre. El humo generado cuando la leña se quema es responsible de tos y de enfermedades pulmonares. Además, fuegos al aire libre consumen mucha leña que las familias recogen a pié a veces a más de 3 horas caminando en la montaña. Las cocinas mejoradas son construidas adentro de las casas, a cubierto. Son equipadas de chimenea que conducen el humo afuera de las habitaciones, mejorando el estado de salud de las mujeres que cocinan (las que se exponen lo más) y de sus familias que quedan cerca de la cocina. Estás cocinas son también más eficientes, porque consumen menos leña que fuegos al aire libre. Así las familias necesitan menos leña y tienen de ir a recoger leña menos frecuente. La ONG Insituto Politecnico Tomas Katari IPTK a Sucre trabaja con 14 communidades del canton de Pitantora en Bolivia, para mejorar la seguridad alimentaria de las familias que viven en zonas rurales. La ONG construye cocinas mejoradas con estas familias y enseñan a ellas como hacer. Así la ayuda de IPTK es sostenible, compartiendo pericias, competencias y habilidades : las familias que han aprendido pueden ahora enseñar a otras familias de la región cómo construir su propias cocinas mejoradas. Los beneficios de las cocinas mejoradas son varios : * el costo es bajo, porque los materiales son locales * la salud es mejorada, porque el humo se va afuera gracias a la chimenea * la consumación de leña está reducida * el tiempo necesito para cocinar es más corto, porque la cocina es más eficiente * el recogido de leña es menos frecuente, porque la cocina es eficiente y necesita menos leña. Entonces las familias tienen más tiempo para hacer otras cosas. Cuidad: Cocinar adentro de la casa puede necesitar más trabajo : añadir ventanas para que la luz del sol entra adentro de la pieza Inconvenientes: * La cocina mejorada es construido según el tamaño de las ollas de la casa. Si quieren cambiar de olla, deben ajustar el tamaño de los oyos : si la nueva olla es más grande, es fácil de alargar los oyos. Si la olla es más pequeña, se va a caer. Se podria mantener con piedras pero el calor del fuego iria a escaparse entre las piedras y la cocción seria menos eficiente. Se necesita un día para construir una cocina mejorada, pero se necesitan 5 días antes para la fermentación del estiércol de burro.  
Soap is the basis of hygiene. Washing your hands regularly (and your body) limits the transport of harmful substances and bacteria. To meet this need, it is possible to make soap yourself with basic products. The chemical reaction to make a soap is called saponification and requires two reagents: a fat and a strong base. Here the fat will be coconut oil from the ripe nut (brown), and the strong base will be soda NaOH. This tutorial will teach you how to make soap from coconut.  +
We are two housemates and a few months ago we asked ourselves: how to shift our individual practice to a collective one by sharing laundry? Indeed, we have one washing machine in the house that everyone uses for their own personal clothes. After two months of experimentation, we found our rhythm in a practice that finally meets both our needs. We assumed that sustainability in home appliances relied only on energy saving. Slowly, during the process, we realized that social values were a layer of our practice. They were necessary for the good functioning of our contract, and therefore we started acknowledging them. We stopped focusing on the quantification of our research and start appreciating and giving value to the shared rituals. We experimented with a relaxed discipline towards chores. Having to commit to each other and to the task gave us greater satisfaction in the achievement of daily life duties. We perceived it as something wholesome. We share here the methodology that helped us steeping out to our individual practice, because we believe it worth trying it. It is a meaningful opportunity to bring social values in a shared house. To know before reading: *<span class="s1"></span>The different steps are propositions to open dialogue and consent to a methodology *<span class="s1"></span>The propositions can work independently or together *<span class="s1"></span>They need commitments, time and energy on long-term *<span class="s1"></span>The final goal is for the group to build their own practice  +
La spirulina è una microalga, più precisamente un cianobatterio a spirale di circa ¼ di millimetro. Prospera nelle regioni calde e desertiche da più di tre miliardi di anni. Alle origini della vita vegetale e animale, la spirulina ha occupato un ruolo chiave nello sviluppo dell'atmosfera terrestre producendo ossigeno a partire dal diossido di carbonio; e se ci interessa oggi è grazie alle sua proprietà che la rendono un superfood. La ricca costituzione della spirulina è data dalla parete cellulare, costituita da proteine, e che si differenzia dalle altre cellule vegetali di cui la parete è costituita da cellulosa, che ne rende difficile la digestione. La spirulina ha inoltre un'alta concentrazione di vitamine e ferro. Questa composizione ideale e la facilità di assimilazione ne fanno un integratore alimentare ideale per sportivi di alto livello. La spirulina si vende a caro prezzo ma sarebbe semplice e veloce da coltivare. La sua resa è molto buona: sulla stessa superficie, la spirulina produce una quantità di proteine cinquecento volte superiore rispetto a un allevamento bovino, e per produrne un chilo servono 2.500 litri di acqua rispetto ai 13.500 litri per la controparte di carne bovina. Numerose associazioni e ONG (Univers la Vie, Antenna, etc) la coltivano per contribuire alla lotta contro la fame e alla malnutrizione nel mondo. Esiste anche allo stato naturale intorno alla fascia tropicale (Perù, Messico, Ciad, Etiopia, Madagascar, India, ecc.) e persino in Francia, in Camargue. La coltivazione domestica permette di integrare la spirulina alla propria alimentazione quotidiana. La Federazione della Spirulina di Francia raccomanda un consumo di cinquanta grammi di spirulina fresca al giorno, o circa 10 grammi di essiccata. Con questo obiettivo di produzione locale, ci vuole 1 m² di bacino di coltura per persona. '''Informazioni preliminari''' ''Il mezzo di coltura'' La spirulina cresce naturalmente nei laghi vulcanici ricchi di sale e bicarbonato di sodio con un pH elevato, vicino a 10. Questi luoghi costituiscono il suo habitat ideale ma non la sua alimentazione: come i pesci, non si nutre di sale marino. Nella coltivazione di spirulina, l'obiettivo è quello di ricreare il più possibile il suo habitat naturale. Allo stato naturale, la spirulina viene raccolta raramente tranne che dai coltivatori e dai fenicotteri rosa. Nei bacini di coltivazione invece, le raccolte sono più abbondanti e si deve nutrire la coltura regolarmente per permettere il suo rinnovo. Nella coltivazione di spirulina è quindi necessario dissociare il mezzo di coltura dall'ambiente di vita e dal cibo: mezzo di cultura = ambiente di vita + cibo ''L'ambiente di coltura'' La spiruline vit naturellement dans des climats chauds. Quand la température de son milieu de vie est inférieure à 18°C, elle hiberne. Dès 20°C elle commence à se développer. A partir de 30°C sa production s’intensifie fortement. A 37°C, température optimale du milieu, la population augmente d’un quart toutes les huit heures. Au-dessus de 42°C, la spiruline meurt. En France, la culture en extérieure, avec un capot translucide, est possible dès mi-Avril. La profonde couleur verte de la spiruline est obtenue par photosynthèse. Pour cela, la spiruline a besoin d’une forte luminosité mais pas d’exposition longue au soleil. Il est important d’agiter le bassin pour éviter que les spirulines en surface ne brulent et permettre à celles en profondeur de profiter de la lumière. La culture doit faire 20cm de profondeur maximum pour que toute la spiruline bénéficie d’un bon ensoleillement. ''La concentration'' Un des indicateurs de santé de la spiruline est sa concentration. Pour la mesurer il existe un instrument très simple : le spirumètre ou disque de Secchi. Il s’agit d’un disque blanc au bout d’un axe gradué en centimètres. On mesure la concentration de la spiruline en plongeant le disque dans la solution de culture. Lorsque celui-ci disparait, on relève la graduation à la surface, c’est l’indice de concentration de Secchi. Plus l’indice est faible, plus la spiruline est concentrée. Pour une spiruline en bonne santé, la concentration doit être entre 2 et 4. A 2 elle est très concentrée, elle peut être récoltée. A 4 elle est à sa concentration de culture minimale, par exemple après une récolte. Ce tutoriel est réalisé en collaboration avec Gilles Planchon, spécialiste de la culture familiale de spiruline, formateur et chercheur sur les milieux de vie naturel de la micro-algue. Retrouvez [https://youtu.be/kk7um3d8MyQ ici] la vidéo tuto et la [http://lab.lowtechlab.org/index.php?title=Bassin_de_culture_de_spiruline construction d'un bassin de culture familiale].  
La coltura idroponica è la coltura di piante e ortaggi in acqua, senza terra. Le radici sono immerse in un substrato inerte (palline di argilla, sabbia, ecc...) che serve da supporto. La pianta si nutre direttamente dall'acqua, che è arricchita di una soluzione nutritiva. A differenza della coltura idroponica tradizionale, la bioponia (idroponica+biologica) permette di coltivare frutta e verdura in maniera biologica senza ricorrere a fertilizzanti chimici di sintesi. Infatti, in questo caso si useranno dei fertilizzanti organici come letame, tè di lombrichi, urina e tè di compost ossigenato. Nella bioponia, la soluzione nutritiva non è sterile: batteri, microrganismi e funghi possono svilupparsi. Questi micro-organismi attivi trasformeranno sostanze come l'ammoniaca in nitrato, uno dei nutrienti essenziali per la crescita delle piante. Nel nostro caso utilizzeremo una soluzione organica mescolando acqua con urina umana (1% di urina rispetto al volume dell'acqua). La coltura idroponica apporta numerosi vantaggi in alcuni contesti: *Nelle regioni aride, dove terra fertile e acqua scarseggiano, la coltura idroponica permette di risparmiare da 7 a 10 volte il volume d'acqua necessario per l'irrigazione rispetto all'agricoltura convenzionale e permette di evitare stress idrici. *Nelle città e nelle aree urbane dove lo spazio disponibile alla coltura in terra è limitato. Infatti, è particolarmente indicata alla coltura in spazi ristretti (tetti degli immobili, appartamenti, fabbriche dismesse...). Poiché può essere sviluppata in verticale, la coltura idroponica permette di ottenere una produzione per metro quadro superiore alla coltura in terra. Gli abitanti delle città, molto spesso sconnessi dalla natura, potranno inoltre ritrovare il piacere della coltura. *In caso di suolo inquinato. *Consente un migliore controllo degli insetti invasivi. La coltura idroponica, però, può anche presentare degli svantaggi: *Può essere costosa e poco ecologica se praticata in serra con illuminazione artificiale e riscaldamento. *In un sistema idroponico non biologico, la soluzione nutritiva deve essere cambiata regolarmente. L'acqua ricca di minerali e oligoelementi viene scaricata e può influenzare l'ecosistema. In questo tutorial, presentiamo un metodo che evita input chimici. *Poiché l'ambiente è umido e caldo, batteri e malattie possono diffondersi rapidamente. La coltura idroponica richiede un'attenzione particolare e quotidiana alla buona salute delle piante.  
Chaque année, un français produit 320kg (soit environ 90 sacs) de déchets dont 120kg sont des déchets organiques potentiellement valorisables. Ils peuvent notamment servir d’engrais pour les cultures. En campagne, il est simple de composter ses déchets organiques. En ville, c’est plus problématique. Pourtant plus des ¾ des français vivent en milieu urbain, le potentiel de valorisation est donc très important. La production de compost via les déchets organiques ouvre les portes de la culture de plantes et légumes chez soi. En milieu urbain, les objectifs sont variés : *Se réapproprier les méthodes de culture *Tendre vers la souveraineté alimentaire *Dépolluer l’air environnant *Manger des produits de qualité et de proximité Le '''bokashi''' (« matière organique fermentée » en japonais) est une méthode de compostage très efficiente, pouvant être adaptée au contexte urbain. Le bokashi met en œuvre ce qu’on appelle les micro-organismes efficaces (dit EM). '''Que sont les Micro-organismes Efficaces (EM) ?''' Dans la nature, il a été observé que la dégradation de la matière organique en bel humus se fait par une faune et une flore composées de champignons et de bactéries. Ces micro-organismes « effectifs » représentent environ 10% de la population de micro-organismes naturellement présents. Les EM sont un mélange de 80 souches sélectionnées de ces micro-organismes effectifs. Leur utilisation pour le compost permet d’imiter le fonctionnement d’un humus très sain et d’optimiser la bonne dégradation de la matière organique. Le compost utilisant ces micro-organismes est appelé « Bokashi ». A noté que les EM peuvent être utilisés sur des cultures en terre pour ramener de la vie dans un sol pauvre cependant il peut être néfaste de l’utiliser sur des terres où la vie est déjà bien présente car l’équilibre du lieu peut être déréglé par leur action. Il est possible de [http://permaforet.blogspot.fr/2013/09/bokashi-dautomne-me.html récupérer soi-même des souches locales] pour faire ses propres « micro-organismes efficaces », cela nécessite tout de même une bonne maîtrise. Le plus simple est de se procurer des souches sur internet, en France notamment auprès de [http://www.synbiovie.fr/ Bertrand Grevet], spécialiste du sujet. Les Micro-organismes Efficaces se présentent sous 2 formes : *Les EM 1 : ce sont des souches concentrées qui nécessitent une étape avant utilisation : il faut les « activer » avec de la mélasse. *Les EM A (pour micro-organismes efficaces activés ou fermentés) : le mélange avec la mélasse a été réalisé en amont, cependant la durée de conservation est courte (de l’ordre d’un mois). Il est tout de même préférable de se fournir directement des EM A. '''Fonctionnement du Bokashi ?''' Le bokashi est le produit obtenu par la fermentation des déchets organiques inséminé par des EM A. Il faut le fermer hermétiquement après chaque utilisation pour que les bactéries se développent au mieux, avec une température de 20°C à 25°C. Le résultat du compostage est : *Un jus très nutritif pour les plantes (à diluer à 1% avec de l’eau) *Un compost solide riche en minéraux et micro-organismes Par l’utilisation d’un contenant étanche et hermétique, le bokashi est particulièrement adapté au contexte urbain, hors sol : Il est fermé, ne sent pas, le compostage est rapide permettant un bac de petite taille et le jus est directement utilisable pour de la culture hors sol (en pot de terre ou sur substrat). Ce tutoriel est réalisé en collaboration avec Léon-Hugo Bonte, paysagiste décorateur, adepte de la culture d’intérieur hors sol, utilisateur régulier du bokashi et des EM depuis de nombreuses années. '''Retrouvez [https://youtu.be/JLqSRKNIwYs ICI] la vidéo tuto.''' '''Retrouvez dans [https://lowtechlab.org/assets/files/rapport-experimentation-habitat-low-tech-low-tech-lab.pdf ce rapport] une analyse à l'usage de ce compost Bokashi, ainsi que des 11 autres low-techs expérimentées lors du projet En Quête d'un Habitat Durable.'''  
Chaque année, un français produit 320kg (soit environ 90 sacs) de déchets dont 120kg sont des déchets organiques potentiellement valorisables. Ils peuvent notamment servir d’engrais pour les cultures. En campagne, il est simple de composter ses déchets organiques. En ville, c’est plus problématique. Pourtant plus des ¾ des français vivent en milieu urbain, le potentiel de valorisation est donc très important. La production de compost via les déchets organiques ouvre les portes de la culture de plantes et légumes chez soi. En milieu urbain, les objectifs sont variés : *Se réapproprier les méthodes de culture *Tendre vers la souveraineté alimentaire *Dépolluer l’air environnant *Manger des produits de qualité et de proximité Le '''bokashi''' (« matière organique fermentée » en japonais) est une méthode de compostage très efficiente, pouvant être adaptée au contexte urbain. Le bokashi met en œuvre ce qu’on appelle les micro-organismes efficaces (dit EM). '''Que sont les Micro-organismes Efficaces (EM) ?''' Dans la nature, il a été observé que la dégradation de la matière organique en bel humus se fait par une faune et une flore composées de champignons et de bactéries. Ces micro-organismes « effectifs » représentent environ 10% de la population de micro-organismes naturellement présents. Les EM sont un mélange de 80 souches sélectionnées de ces micro-organismes effectifs. Leur utilisation pour le compost permet d’imiter le fonctionnement d’un humus très sain et d’optimiser la bonne dégradation de la matière organique. Le compost utilisant ces micro-organismes est appelé « Bokashi ». A noté que les EM peuvent être utilisés sur des cultures en terre pour ramener de la vie dans un sol pauvre cependant il peut être néfaste de l’utiliser sur des terres où la vie est déjà bien présente car l’équilibre du lieu peut être déréglé par leur action. Il est possible de [http://permaforet.blogspot.fr/2013/09/bokashi-dautomne-me.html récupérer soi-même des souches locales] pour faire ses propres « micro-organismes efficaces », cela nécessite tout de même une bonne maîtrise. Le plus simple est de se procurer des souches sur internet, en France notamment auprès de [http://www.synbiovie.fr/ Bertrand Grevet], spécialiste du sujet. Les Micro-organismes Efficaces se présentent sous 2 formes : *Les EM 1 : ce sont des souches concentrées qui nécessitent une étape avant utilisation : il faut les « activer » avec de la mélasse. *Les EM A (pour micro-organismes efficaces activés ou fermentés) : le mélange avec la mélasse a été réalisé en amont, cependant la durée de conservation est courte (de l’ordre d’un mois). Il est tout de même préférable de se fournir directement des EM A. '''Fonctionnement du Bokashi ?''' Le bokashi est le produit obtenu par la fermentation des déchets organiques inséminé par des EM A. Il faut le fermer hermétiquement après chaque utilisation pour que les bactéries se développent au mieux, avec une température de 20°C à 25°C. Le résultat du compostage est : *Un jus très nutritif pour les plantes (à diluer à 1% avec de l’eau) *Un compost solide riche en minéraux et micro-organismes Par l’utilisation d’un contenant étanche et hermétique, le bokashi est particulièrement adapté au contexte urbain, hors sol : Il est fermé, ne sent pas, le compostage est rapide permettant un bac de petite taille et le jus est directement utilisable pour de la culture hors sol (en pot de terre ou sur substrat). Ce tutoriel est réalisé en collaboration avec Léon-Hugo Bonte, paysagiste décorateur, adepte de la culture d’intérieur hors sol, utilisateur régulier du bokashi et des EM depuis de nombreuses années. '''Retrouvez [https://youtu.be/JLqSRKNIwYs ICI] la vidéo tuto.''' '''Retrouvez dans [https://lowtechlab.org/assets/files/rapport-experimentation-habitat-low-tech-low-tech-lab.pdf ce rapport] une analyse à l'usage de ce compost Bokashi, ainsi que des 11 autres low-techs expérimentées lors du projet En Quête d'un Habitat Durable.'''  
Ogni anno, un francese produce 320kg (ossia circa 90 sacchi) di rifiuti di cui 120kg sono rifiuti organici potenzialmente recuperabili. Possono in particolare servire da fertilizzanti per le colture. In campagna, è facile di compostare i rifiuti organici.. In città, è più problematico . Eppure più di 3/4 dei francesi vivono nelle aree urbane, il potenziale di valorizzazione è molto importante. La produzione di compost attraverso i rifiuti organici apre le porte della coltivazione di piante e ortaggi a casa. In ambiente urbano, gli obiettivi sono vari : * Riappropriarsi dei metodi di coltivazione * Tendere verso la sovranità alimentare * Disinquinare l'aria circostante * Mangiare prodotti di qualità e di prossimità Il "bokashi" ("materia organico fermentata" in giapponese) è un metodo di compostaggio molto efficiente, que può essere adattato al contesto urbano. Il bokashi ricorrere agli microrganismi efficaci (detti EM). "Che cosa sono i microrganismi efficaci (EM)?" In natura, é stato osservato che la degradazione della materia organica in bel humus avviene per mezzo di una fauna e una flora composte di funghi e batteri. Questi microrganismi "effettivi" rappresentano circa il 10%della popolazione di microrganismi presenti naturalmente. Gli EM sono una miscela di 80 ceppi selezionati di questi microrganismi effettivi. Il loro utilizzo per il compost permette di imitare il funzionamento di un humus molto sano e di ottimizzare la buona degradazione della materia organica. Il compost che utilizza questi microrganismi é chiamato "Bokashi". Ha notato che gli EM possono essere utilizzati su colture di terra per riportare la vita in un suolo povero ma può essere nefasto usarlo su terreni dove la vita é già ben presente perché l'equilibrio del luogo può essere alterato dalla loro azione. E possibile recuperare se stesso dei ceppi locali per fare i propri "microrganismi efficaci", ciò richiede comunque una buona padronanza. Il modo più semplice è procurarsi ceppi su Internet, in Francia in particolare presso Bertrand Grevet, specialista del soggetto I Microrganismi efficaci si presentano in 2 forme : * Gli EM 1 : sono ceppi concentrati che richiedono una fase prima dell'uso : bisogna "attivarli" con melassa. * Gli EM A (per microrganismo efficaci attivi ou fermentati) : la miscela con la melassa è stata realizzata a monte, ma la durata di conservazione è breve (dell'ordine di un mese). È comunque preferibile procurarsi direttamente gli EM A. Funzionamento del Bokashi ? Il bokashi é il prodotto ottenuto dalla fermentazione dei rifiuti organici inseminata dagli EM A. Deve essere chiuso ermeticamente dopo ogni utilizzo affinché i batteri si sviluppino al meglio, con una temperatura da 20°C a 25°C. Il risultato del compostaggio è : * Un succo molto nutriente per le piante (da diluire all' 1% con acqua) * Un compost solido ricco di minerali e microrganismi Grazie all'utilizzo di un contenitore impermeabile e ermetico, il bokashi é particolarmente adatto al contesto urbano, fuori terra : é chiuso, non sente, il compostaggio é rapido permettendo una vasca di piccole dimensioni e il succo é direttamente utilizzabile per la coltivazione fuori terra (in vaso di terra o su substrato). Questo tutorial é realizzato in collaborazione con Léon-Hugo Bonte, paesaggista decoratore, appassionato della cultura degli interni fuori terra, utente regolare del bokashi e dei EM da molti anni. Ritrovate la video del tuto. In questo rapporto trovate un'analisi sull'uso di questo compost Bokashi, così come degli altri 11 low-techs sperimentati durante il progetto En quête d'un Habitat Durable.  
<nowiki>Ce tutoriel reprend brièvement les étapes de fabrication du concentrateur solaire Lytefire L4 (4m2). <br /><br />Le tutoriel entièrement détaillé est disponible à ce lien (https://lytefire.com/diy-fr) pour un coût de 99€. <br /><br /><br />Cette low-tech est fabriquée d'acier et de miroir. La fabrication requiert de savoir souder, meuler, disquer, percer, boulonner, couper et coller des miroirs. <br /><br />Il s'agit d'un niveau avancé de fabrication. <br /><br /><br />Pour vous aider dans la démarche de fabrication, des formateurs peuvent vous accompagner.</nowiki>  +
L’électricité étant devenue dans notre société actuelle un besoin vital, son accès n’est malheureusement pas garanti pour toutes et tous, notamment dans des zones reculées. Ainsi, utiliser une source d’énergie renouvelable à l’instar d’une éolienne Piggott permettrait d’assurer un apport en électricité en autoconsommation, par exemple pour alimentation d’un éclairage, d’un réfrigérateur ou encore pour la recharge de téléphones portables. Une éolienne a besoin de tourner à une vitesse particulière pour extraire le maximum de puissance électrique issue du vent. Pour cela, un circuit électronique de commande est nécessaire. Si les circuits électroniques commerciaux assurent en théorie la maximisation du rendement de l'éolienne sur toute la plage de vent utile, les montages low tech tels que proposés dans les tutoriels sur le site du LowTechLab ou dans le manuel “Construire une éolienne Piggott” de l’association Tripalium sont basés sur un simple redressement par un pont de diode ce qui ne permet pas d'obtenir les performances maximum sur l'ensemble de la plage de vent considérée. Nous avons mis au point un protocole et un outil de calcul qui permettent d'évaluer les performances d'un montage lowtech et permettent ensuite d'en améliorer le rendement. L'idée notamment est de connaître l'influence des caractéristiques techniques de la génératrice d'une part, et de la batterie d'autre part, afin de concevoir des systèmes éoliens autonomes à base de batteries et générateurs de récupération. Ici nous avons appliqué la démarche sur une éolienne Piggott de 200W avec 2 génératrices autoconstruites ainsi qu’une batterie au plomb de 12V.  +