Attribut:Introduction

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E
In the countryside around Sucre, Bolivia, women cook using wood fire. The smoke from the wood consumption leads to cough and lungs diseases. The wood is consumed more rapidly outdoors and, as they do not own any car, the families have to go and get the wood (leña) by foot which could be up to 3 hours away down the mountain. The "enhanced cookers" or "cocinas mejoradas" are located inside, sheltered from rain and wind. They have a chimney which leads the smoke outside, improving health conditions of the women who cook and their family who do not breathe the smoke anymore. These cookers are more efficient and consume wood less rapidly. So, less ways to gather leña are necessary. The association Instituto Politecnico Tomas Katari - IPTK of Sucre works with 14 communities around Pitantora in Bolivia in order to improve Food Safety of families living in rural areas. The association builds enhanced cookers for families but also teaches them to build them. The IPTK's support is sustainable through time thanks to a real knowledge transfer: the families who know how to build cocina mejorada can then help other familles build their own. Advantages: * Cheap because is made using local materials * Health enhancement (smoke is led outside) * Reduction of wood consumption * Gain of time (more efficient cooking, less ways are required to get the wood) Caution : Cooking inside can lead to additional work: it was necessary to add windows to the houses made of Adobe -houses made of earth and straw- so that sun beams can light the room. (Before windows were not necessary as women cooked outside) Disadvantages: The cocina mejorada is only adapted to the pots it was built for. If you change your pots, it should be necessary to adjust the size of the holes which let the heat pass through. If your new pot is smaller, you can try to fix it in the hole using rocks (so that it does not fall) but the cooking will be less efficient as the heat will escape between the rocks. The cocina mejorada can be built within a day but it is previously necessary to let the donkey's dung ferment for 5 days.  
'''Retrouvez [https://youtu.be/e_sZ3tH_15E Ici] la vidéo tutoriel''' Basé sur les travaux de l'écossais [http://scoraigwind.co.uk/ Hugh Piggott], ce tutoriel a été réalisé en collaboration avec Aurélie Guibert, membre du réseau [http://www.tripalium.org/ Tripalium], au sein du [http://vatelier.fr/ V.A.L] à Valence. Il s'agit de la fabrication d’une éolienne de puissance maximum de 200W en 12V pour une envergure d’1 m 20. Elle est dimensionnée pour de faibles besoins en électricité comme un réseau d'éclairage LED ou l’alimentation d’ordinateurs portables. La partie distribution de l’électricité ainsi que le matage ne sont pas détaillés ici. '''Le vent''' La puissance que le vent fourni est proportionnelle au cube de sa vitesse. A titre d’exemple, l’éolienne de ce tutoriel reçoit dans son hélice 0,7W quand le vent souffle à 1m/s et mille fois plus à 10m/s. Pour la calculer: '''P= 1/2 x Rho x S x v^3''' avec P: puissance (W), Rho: masse volumique de l'air (environ 1,23 kg/m^3), S: Surface balayée par l’hélice (m²), v: vitesse du vent (m/s) Il est donc indispensable d’étudier le terrain où l’on souhaite installer une éolienne pour voir si le vent souffle relativement constamment et avec une vitesse suffisante pour produire un minimum d’énergie. Comme tout système, une partie de l'énergie est perdu par l'éolienne. En théorie, une éolienne ne pourra jamais transformer plus de 60% de l'énergie que le vent lui fournit, c'est la limite de Betz. Dans la pratique, sur le type d'éolienne développé dans ce tutoriel, le rendement peut atteindre jusqu'à 35%. '''L'emplacement''' En règle générale, il vaut mieux un terrain dégagé de tout arbre et toute habitation. Les éoliennes de mêmes tailles placées en villes ou sur des pignons de maisons produisent beaucoup moins à cause des turbulences du vent. De même, le vent est plus constant et puissant en altitude, il sera donc préférable d'installer une petite éolienne en hauteur, qu'une grande éolienne à faible altitude. '''Coût''' Bien que Low-tech, le coût de construction de cette éolienne avoisine les 350€ si tous les matériaux sont achetés. En comprenant le matage et l'électronique, le coût avoisine les 2000€. Il peut être intéressant de l’installer dans des zones hors-réseau dans une optique d’autonomie. Dans le cas d’un raccordement au réseau, ce n’est pas financièrement intéressant.  
'''Retrouvez [https://youtu.be/e_sZ3tH_15E Ici] la vidéo tutoriel''' Basé sur les travaux de l'écossais [http://scoraigwind.co.uk/ Hugh Piggott], ce tutoriel a été réalisé en collaboration avec Aurélie Guibert, membre du réseau [http://www.tripalium.org/ Tripalium], au sein du [http://vatelier.fr/ V.A.L] à Valence. Il s'agit de la fabrication d’une éolienne de puissance maximum de 200W en 12V pour une envergure d’1 m 20. Elle est dimensionnée pour de faibles besoins en électricité comme un réseau d'éclairage LED ou l’alimentation d’ordinateurs portables. La partie distribution de l’électricité ainsi que le matage ne sont pas détaillés ici. '''Le vent''' La puissance que le vent fourni est proportionnelle au cube de sa vitesse. A titre d’exemple, l’éolienne de ce tutoriel reçoit dans son hélice 0,7W quand le vent souffle à 1m/s et mille fois plus à 10m/s. Pour la calculer: '''P= 1/2 x Rho x S x v^3''' avec P: puissance (W), Rho: masse volumique de l'air (environ 1,23 kg/m^3), S: Surface balayée par l’hélice (m²), v: vitesse du vent (m/s) Il est donc indispensable d’étudier le terrain où l’on souhaite installer une éolienne pour voir si le vent souffle relativement constamment et avec une vitesse suffisante pour produire un minimum d’énergie. Comme tout système, une partie de l'énergie est perdu par l'éolienne. En théorie, une éolienne ne pourra jamais transformer plus de 60% de l'énergie que le vent lui fournit, c'est la limite de Betz. Dans la pratique, sur le type d'éolienne développé dans ce tutoriel, le rendement peut atteindre jusqu'à 35%. '''L'emplacement''' En règle générale, il vaut mieux un terrain dégagé de tout arbre et toute habitation. Les éoliennes de mêmes tailles placées en villes ou sur des pignons de maisons produisent beaucoup moins à cause des turbulences du vent. De même, le vent est plus constant et puissant en altitude, il sera donc préférable d'installer une petite éolienne en hauteur, qu'une grande éolienne à faible altitude. '''Coût''' Bien que Low-tech, le coût de construction de cette éolienne avoisine les 350€ si tous les matériaux sont achetés. En comprenant le matage et l'électronique, le coût avoisine les 2000€. Il peut être intéressant de l’installer dans des zones hors-réseau dans une optique d’autonomie. Dans le cas d’un raccordement au réseau, ce n’est pas financièrement intéressant.  
Nous voulions remplacer une ancienne descente de garage, trop raide pour une voiture et dangereuse à pied, par un escalier aussi simple que possible. Il nous semblait possible de faire plus simple que les solutions proposées par les maçons (casser la dalle au moins en partie, faire des fondations profondes en béton et/ou des ancrages dans les murs)... En plus, tous les devis étaient à plusieurs milliers d'euros. Après réflexion, nous avons réalisé nous-mêmes une structure en bois, juste posée sur le béton, puis "remplie" de graviers. Nous aurions préféré retirer le béton pour désimperméabiliser le sol, mais vu la surface relativement faible et la difficulté de l'opération, nous avons privilégié la simplicité. L'écoulement des eaux de pluie se fait comme avant, vers un regard en bas de la descente.  +
Ce tutoriel permet : - de '''se poser des questions sur le stockage de l'eau de pluie autrement qu'avec des citernes''' - de se faire une '''idée des volumes d'eau qu'il est potentiellement possible de récupérer grâce à une toiture''' - d'approfondir '''la manière dont les précipitations et températures vont évoluer (changements climatiques), sur votre secteur, au cours des prochaines décennies'''. - de se poser des questions pour '''réfléchir aux systèmes de stockage des eaux de pluie'''. En sachant qu'il y a des moyens encore plus simples que des citernes pour stocker l'eau de pluie. On se lance ?  +
Ce tutoriel permet - de se '''questionner sur la manière de stocker l'eau''' en dehors de citernes - de se faire une '''idée des volumes d'eau qu'il est potentiellement possible de récupérer grâce à une toiture''' - d'approfondir '''la manière dont les précipitations et températures vont évoluer (changements climatiques), sur votre secteur, au cours des prochaines décennies'''. On se lance ?  +
La estufa [http://patsari.blogspot.com/p/fotos-y-dibujos.html Patsari] es una adaptación mejorada del modelo [https://appropedia.org/Rocket_Lorena_Stove Lorena] que surgió en Guatemala y México en la década de los ochenta. Fue diseñada y distribuida por el Grupo Interdisciplinario de Tecnología Rural Apropiada ([https://giraac.wordpress.com/ GIRA]) situado en Pátzcuaro, Michoacán, México. Durante 20 años de trabajo de campo en colaboración con los usuarios, se incorporaron varias mejoras al modelo Patsari en relación con el modelo Lorena: *El exterior hecho de ladrillos aumenta la vida útil. *En el proceso de construcción, se utilizan moldes a fin de garantizar las dimensiones correctas de la cámara de combustión con fines de estandarización. *Se optimizó la cámara de combustión. *Las hornillas secundarias maximizan la trasferencia de calor hacia varias superficies para cocinar. *Los conductos redirigen los gases calientes hacia las hornillas secundarias. *Se sellaron las superficies calefactoras (comales) para evitar que el humo entre a la habitación. *Se prefabricó una base de chimenea que facilita la limpieza. Patsari significa «el que cuida» en la lengua de los pueblos indígenas Purhe'pecha de las regiones del Lago de Pátzcuaro; la estufa está diseñada para cuidar la salud de los usuarios y del medio ambiente. Las principales ventajas de esta estufa son : <br/> *'''La reducción del consumo de combustible''' en un 50% en comparación a un fuego abierto. *'''Un 66% de reducción de la concentración de partículas de gases tóxicos''' (CO) en el aire interior en comparación con el fuego abierto. *'''La reducción de la irritación de los ojos y de enfermedades respiratorias''' procedentes de los humos de la estufa. *'''Ahorro de tiempo y dinero''', ya que cuanta menos madera se consuma, menos tiempo se dedica a la recogida o menos dinero se gasta en su compra. *Se construye con '''materiales locales''', de tierra y de arena. *'''De fácil ubicación y '''sencilla para utilizarla''' a diario. Este modelo de estufa se diseñó especialmente para adaptarse a las costumbres culinarias mexicanas, pero puede utilizarse o adaptarse a otros contextos. Este tutorial es una adaptación y una traducción de los trabajos realizados por GIRA. En el siguiente enlace, encontrarás el tutorial: http://www.stoves.bioenergylists.org/files/ManualPatsari.pdf  
Les incendies dans les bidonvilles sont un problème récurrent aux conséquences très souvent dévastatrices. En Afrique du Sud, une moyenne de 10 incendies de "shacks" (logements de fortune) par jour ont été recensés tous les ans, provoquant pour des milliers de familles la perte de leurs effets personnels et de leur logement, sans aucune possibilité de compensation. Les feux, souvent tardivement détectés, se propagent à grande vitesse dans ces logements faits de matériaux inflammables. Les manœuvres de prévention sont bien sûr à préférer aux moyens de réaction, mais les populations manquent souvent d'outils à leur disposition pour réagir rapidement en cas de problème. En Afrique du Sud, un extincteur classique coûte environ 10€. Les feux se déclarant très souvent, cette somme peut devenir très importante pour une famille aux revenus modestes. Ce modèle d'extincteur low-tech est principalement fabriqué à partir de matériaux de récupération, et les produits à acheter sont courants et disponibles pour moins d'un euro. Cette technologie a été développée par deux étudiantes sud-africaines de l'Université de Cape Town. Le design est inspiré des travaux de Kahn and Firfirey (2011). Elle a été testée et approuvée en présence des pompiers de la ville, et est efficace contre des feux de type A (combustibles ordinaires comme le bois ou le papier) et B (liquides inflammables comme le pétrole, la paraffine ou le GPL), types de feux les plus récurrents dans les bidonvilles. Son implantation sur site n'a malheureusement pas été développée par manque de temps et de ressources, et la technologie n'a pas encore été reprise par d'autres groupes d'études ou organisations, mais le tutoriel a été transmis par l'équipe de Nomade des Mers a différentes personnes qui ont noté son utilité. Son implantation dans les bidonvilles demande un travail conséquent mais ne présente pas de défi majeur, principalement du fait qu'elle n'entre pas en conflit avec les habitudes des foyers. Les gens pouvant être réticents à fabriquer systématiquement cette low-tech à chaque fois qu'un feu est éteint (cas très récurant), des modèles sont à imaginer et à développer pour la fabriquer et la répandre facilement.  
Les incendies dans les bidonvilles sont un problème récurrent aux conséquences très souvent dévastatrices. En Afrique du Sud, une moyenne de 10 incendies de "shacks" (logements de fortune) par jour ont été recensés tous les ans, provoquant pour des milliers de familles la perte de leurs effets personnels et de leur logement, sans aucune possibilité de compensation. Les feux, souvent tardivement détectés, se propagent à grande vitesse dans ces logements faits de matériaux inflammables. Les manœuvres de prévention sont bien sûr à préférer aux moyens de réaction, mais les populations manquent souvent d'outils à leur disposition pour réagir rapidement en cas de problème. En Afrique du Sud, un extincteur classique coûte environ 10€. Les feux se déclarant très souvent, cette somme peut devenir très importante pour une famille aux revenus modestes. Ce modèle d'extincteur low-tech est principalement fabriqué à partir de matériaux de récupération, et les produits à acheter sont courants et disponibles pour moins d'un euro. Cette technologie a été développée par deux étudiantes sud-africaines de l'Université de Cape Town. Le design est inspiré des travaux de Kahn and Firfirey (2011). Elle a été testée et approuvée en présence des pompiers de la ville, et est efficace contre des feux de type A (combustibles ordinaires comme le bois ou le papier) et B (liquides inflammables comme le pétrole, la paraffine ou le GPL), types de feux les plus récurrents dans les bidonvilles. Son implantation sur site n'a malheureusement pas été développée par manque de temps et de ressources, et la technologie n'a pas encore été reprise par d'autres groupes d'études ou organisations, mais le tutoriel a été transmis par l'équipe de Nomade des Mers a différentes personnes qui ont noté son utilité. Son implantation dans les bidonvilles demande un travail conséquent mais ne présente pas de défi majeur, principalement du fait qu'elle n'entre pas en conflit avec les habitudes des foyers. Les gens pouvant être réticents à fabriquer systématiquement cette low-tech à chaque fois qu'un feu est éteint (cas très récurant), des modèles sont à imaginer et à développer pour la fabriquer et la répandre facilement.  
Fires in slums are a recurring problem with very often devastating consequences. In South Africa, an average of 10 "shacks" fires per day have been recorded each year, causing thousands of families to lose their belongings and housing without any possibility of compensation. The fires, often belatedly detected, spread at high speed in these dwellings made of flammable materials. Prevention maneuvers are of course preferred to the means of reaction, but the populations often lack tools at their disposal to react quickly in case of problem. In South Africa, a conventional fire extinguisher costs around € 10. Because fires are very common, this amount can become very important for a low-income family. This low-tech fire extinguisher is mainly made from recycled materials, and products to buy are common and available for less than one euro. This technology was developed by two South African students from the University of Cape Town. The design is inspired by the work of Kahn and Firfirey (2011). It has been tested and approved in the presence of city firefighters, and is effective against Type A fires (common fuels such as wood or paper) and B (flammable liquids such as petroleum, paraffin or LPG), types of the most recurrent fires in slums. Its implementation on site was unfortunately not developed due to lack of time and resources, and the technology has not yet been taken up by other study groups or organizations, but the tutorial was transmitted by the team Nomade des Mers has different people who have noted its usefulness. Its location in slums requires substantial work but does not pose a major challenge, mainly because it does not conflict with the habits of homes. People may be reluctant to systematically make this low-tech every time a fire is extinguished (very scouring case), models are to imagine and develop for the manufacture and spread easily.  +
Los incendios de tugurios son un problema recurrente con consecuencias a menudo devastadoras. En Sudáfrica, se han registrado un promedio de 10 incendios de chozas por día cada año, lo que ha provocado que miles de familias pierdan sus pertenencias personales y su vivienda, sin posibilidad de indemnización. Los incendios, a menudo detectados tardíamente, se propagan a gran velocidad en estas viviendas hechas de materiales inflamables. Por supuesto, las maniobras de prevención son preferibles a los medios de reacción, pero las poblaciones a menudo carecen de las herramientas a su disposición para reaccionar rápidamente en caso de problema. Traducción realizada con el traductor www.DeepL.com/Translator En Sudáfrica, un extintor estándar cuesta unos 10€. Dado que los incendios son muy frecuentes, esta suma puede llegar a ser muy importante para una familia con ingresos modestos. Este modelo de extintor de baja tecnología se fabrica principalmente con materiales reciclados, y los productos que se pueden comprar son comunes y están disponibles por menos de un euro. Esta tecnología fue desarrollada por dos estudiantes sudafricanos de la Universidad de Ciudad del Cabo. El diseño está inspirado en el trabajo de Kahn y Firfirey (2011). Ha sido probado y aprobado en presencia de bomberos de la ciudad, y es eficaz contra incendios de tipo A (combustibles ordinarios como la leña o el papel) y B (líquidos inflamables como el petróleo, la parafina o el GLP), los tipos de incendios más comunes en los barrios marginales. Desafortunadamente, su implementación en el sitio no fue desarrollada debido a la falta de tiempo y recursos, y la tecnología aún no ha sido adoptada por otros grupos de estudio u organizaciones, pero el tutorial fue transmitido por el equipo de Nomade des Mers a varias personas que notaron su utilidad. Su establecimiento en barrios de tugurios requiere un trabajo considerable, pero no representa un gran desafío, principalmente porque no entra en conflicto con los hábitos del hogar. La gente puede ser reacia a fabricar sistemáticamente esta baja tecnología cada vez que se apaga un incendio (caso muy recurrente), los modelos deben ser imaginados y desarrollados para fabricarlos y difundirlos fácilmente.  
Incêndios em favelas são um problema recorrente que apresenta consequências muitas vezes devastadoras. Na África do Sul, registra-se uma média de 10 incêndios de barracos por dia a cada ano, o que faz milhares de famílias perderem seus pertences pessoais e suas casas, sem possibilidade de indenização. Os incêndios, muitas vezes detectados tardiamente, alastraram-se a grande velocidade nestas habitações, feitas de materiais inflamáveis. É claro que os métodos preventivos devem ser preferidas aos meios reativos, mas muitas vezes as populações não dispõem de ferramentas para reagir rapidamente no caso de um problema. Na África do Sul, um extintor normal custa cerca de 10€. Como os incêndios ocorrem com muita frequência, essa quantia pode se tornar muito significativa para uma família com renda modesta. Esse modelo de extintor ''low-tech'' é feito principalmente de sucata, e os produtos a serem comprados são comuns e estão disponíveis por menos de um euro Essa ferramenta foi desenvolvida por dois estudantes sul-africanos da Universidade da Cidade do Cabo. O ''design'' é inspirado no trabalho de Kahn e Firfirey (2011). Foi testado e aprovado perante o corpo de bombeiros da cidade, e é eficaz contra incêndios do tipo A (combustíveis comuns como madeira ou papel) e B (líquidos inflamáveis como gasolina, parafina ou GLP), tipos de incêndios mais recorrentes em favelas. Por falta de tempo e recursos, sua implementação no local, infelizmente, não foi desenvolvida, e a tecnologia ainda não foi adotada por outros grupos de estudo ou organizações, mas o tutorial foi transmitido pela equipe de Nomade des Mers, e tem várias pessoas que notaram sua utilidade. Sua implantação em favelas requer um trabalho árduo, mas não representa um grande desafio, principalmente porque não conflita com os hábitos domésticos. As pessoas podem relutar em fabricar sistematicamente esta ferramenta ''low-tech'' cada vez que um incêndio é apagado (caso muito recorrente); modelos devem ser imaginados e desenvolvidos para fabricá-lo e espalhá-lo facilmente.  
Ce tutoriel est pour deux machine distinctes , chaque étape sera divisée en deux partie. A la fin de ce tutoriel, vous serez capable d'extraire le jus de pomme. Bonne construction.  +
La fibre d’ortie a été utilisée régulièrement au cours de l’histoire. Ses utilisations sont multiples puisqu’elle permet de créer des tissus résistants et doux, du cordage, du rembourrage, du papier, tout types d’objets ou de créations à base de fibres. L’avantage de l’ortie est de pouvoir récolter sans avoir à cultiver sur une surface agricole, récolter chez vos voisins en expliquant votre projet peut être très convivial ! C’est une fibre naturelle très douce, dont le diamètre avoisine 20 microns, à titre de comparaison, des laines épaisses peuvent faire jusqu’à 30-35 microns d’épaisseur. La longueur d’une fibre d’ortie peut varier de 5 à 15 cm (la fibre de coton fait entre 2 et 5 cm), idéale pour être transformée en fil fin et solide. <br/> ==== Résumé de la méthode ==== Il s’agit de cueillir des orties, d’enlever les feuilles, de les laisser 3 semaines dans son jardin, de les décortiquer pour récupérer la filasse qui sera cuite dans de l’eau et de la cendre, puis rincée pour obtenir une belle fibre blanche.  +
F
''Brände in Elendsvierteln sind ein haüfiges Problem mit oft verheerenden Folgen. Im Südafrikas « shacks » (Notunterkünfte), kommt es durschnittlich zu 10 Bränden per Tag, und für tausende Familien bedeutet das den Verlust ihrer persönlichen Sachen und ihrer Wohnung ohne Gegenleistung. Brände werden haüfig zu spät entdeckt, und in diesen Wohnungen, in denem es sehr viele entflammabare Stoffe gibt, verbreitet sich das Feuer sehr schnell. Vorbeugende Massnahmen wären selbsverständlich den Einsatz zu Reaktionsmitteln, aber der Bevolkerung fehlt es oft an verfügbaren Werkzeugen. In Südafrika kostet ein Feuerlöscher ungefähr 10€. Da Brände sehr oft ausbrechen, kann dieser Geldbetrag für eine Familie mit bescheidenen Einkommen zu gross werden. Dieser low tech Feuerlöscher ist aus Recyclingmaterial hergestellt, und Produkte sind leicht zu finden und verfügbar, und kosten weniger als ein Euro. Diese Technologie wurde von zwei südafrikanerischen Studenten von der Cape Town Universität entwickelt. Das Design ist von den Arbeiten von Kahn und Firfirey Werke (2011) beinflusst. Diese Technologie wurde von der städtischen Feuerwehr getestetund genehmigt, und ist wirksam gegen Brandklasse A ( übliche Brennstoffen wie Holz oder Papier) und B (flüssiges Brennstoff wie Öl, Paraffin, oder LPG), das sind des haüfigsten Brändursachen in Elendsviertelen. Aus Zeit und Geldmangel konnte das Produkt leider vorort noch nicht eingeführt werden, und die Technologie wurde noch nicht von anderen Forschergruppen oder Organisationen aufgenommen. Aber das Tutorial wurde vom Nomaden des Meers Team an verschiedene Personen weitergegeben, und diese Personen haben seinen Nutzen festgestellt. Eine ziemlich grosse Arbeit wird für den Einsatz in Elendsvierteln gebraucht. Es ist aber keine zu grosse Herausforderung, hauptsächlich weil sie nicht mit den Familiegewohnheiten in Konflikt steht. Da die Leute Vorbehalte haben können, solche low-tech Technologie systematisch herzustellen wenn ein Feuer geloscht ist (und das ist ein sehr häufiger Fall), muss man sich Modelle ausdenken und entwickeln, um diese herzustellen und zu verbreiten.''  
Longtemps les filtres ont connu la problématiques sur la lenteur de filtration lors de leur utilisation. De nombreuses solutions ont été proposé au fil des années pour améliorer leur rentabilité, tout en tenant compte que sa composition devra mettre en œuvre des matériaux facilement accessible. Le filtre biosable a été une innovation qui a palier a cette problématique par son montage simple et à usage intermittents ou domestiques. Son fonctionnement se divise en plusieurs étapes qui se résume comme suit l’eau est versée en haut du filtre, où un plateau diffuseur placé au-dessus du sable dissipe la force de l’eau. Par gravité, l’eau traverse alors lentement la couche de sable, puis de graviers, avant d’atteindre le tuyau à la base du filtre. A cet endroit, l’eau est poussée à travers le tuyau encastré dans l’enveloppe de béton et sort du filtre, prête à l’usage. Comme pour tous les filtres à sable lents, il y a une combinaison d’actions biologique et mécanique pour enlever les agents pathogènes de l’eau. Quand l’eau est versée en haut, ses composants organiques restent à la surface du sable fin et forment (au bout d’une à trois semaines) un film bactérien.  +
Nous transformons une vieille remorque de route multi-usages en atelier mobile avec des plusieurs caisses d'outillages que nous chargerons dans la remorque suivant les usages et les chantiers sur lequel elle se déplacera. '''<u>Caisse à outil de base / tous usages</u>''' - Marteau - Tournevis : plat et cruciforme - Pinces : multiprise et coupante, tenaille - Jeu de clés plates - Niveau - Règle, réglet, raporteur, pied à coulisse et équerre - Perceuse - visseuse avec jeu de mèches à bois et métal + jeu de têtes de visses - Cutter et paire de ciseau - Scies : à bois et à étau (métal) - Crayons et feutres avec un bloc de papier - Scotchs : grey tape, de peinture et chatterton - Bombe de dégripant WD40 - Papier à poncer et cale à poncer - Etaus avec serre joint pour fixer sur le plan de travail - Serres-joints - Caisse de visseries en tous genres : visses plates, visses cruciforme, rondelles, boulons, écrous, etc. - Caisse de clous de toutes tailles - Ralonge électrique avec multiprises 4 prises 220V et 2 ports USB - Lumière - Toile de tente avec armature pour se protéger de la pluie ou du soleil au dessus de la remorque - Bancs pour s'assoir au postes de travail <u>'''Caisse pédalier multifonction'''</u> - Embout perceuse - Embout machine à coudre - Embout meuleuse - Embout ponceuse à bandes '''<u>Caisse spéciale Bois (en plus de la caisse à outil de base)</u>''' - Rabot à main - Maillet - Ciseaux à bois - Scie circulaire électroportative - Rabot électrique - Ponceuse à main - Scie sauteuse - Tréteaux - Fausse équerre '''<u>Caisse spéciale Métal (en plus de la caisse à outil de base)</u>''' - Pointeau - Coupe tube - Riveteuse et rivets - Meuleuse - Discqueuse - Poste à souder à l'arc '''<u>Caisse spéciale Electricité</u>''' - Tournevis éléctricien - Pince coupe fils + pince à dénuder - Voltmètre - Fer à souder étain - Pompe à déssouder - Ralonges électriques - Raccord et dominos électriques '''<u>Caisse spéciale Cuisine</u>''' - Réchaud à gaz avec bonbonnes de recharge - Gamelle avec couvercle (casserole) - Bouilloire - Glacière - Verres - Couverts et assiettes - Saladiers - Bidon d'eau - Garde manger avec Riz, Pâtes, Lentilles, Légumes et Fruits. Thé et Café. - Four solaire low tech  
Liste non-exhaustive de plusieurs solutions possibles pour le travail du sol : * labourer le sol (mauvais pour de nombreuses raisons, voir les travaux du couple Lydia et Claude Bourguignon) * le retourner en superficie : solution la plus rapide et efficace en le faisant à la motobineuse (1 jour pour 200m² environ), mais demande le matériel et l’essence. A la main prend un temps beaucoup plus important. * le décompacter : fourche (mal adaptée et fragile), ou outil type grelinette / guerilu qui est la version plus solide en métal, pour aérer le sol sans perturber les écosystèmes et microbiottes. Les modèles premiers prix sont mal adaptés à un sol lourd, les dents se plient, les manches se cassent etc. Il faut mettre 100-150€ pour une grelinette de qualité. * le bâcher : pour permettre au couvert végétal de se décomposer et à la faune du sol (vers de terre notamment) d’aérer le sol sans avoir à agir dessus. l’inconvénient de cette méthode est qu’elle demande du temps, au moins plusieurs semaines de bâchage, et elle demande d’avoir potentiellement une grande surface de bâche plastique. On pourrait imaginer le faire en récupérant et en cousant des sacs de café en toile de jute. J’ai orienté la conception vers un "Guerilu", modèle plus solide en métal, avec des dents plus épaisses que les modèles du commerce (ici de Ø15 mm), à 5 dents qui permet d’avoir la largeur de 80cm soit la partie cultivable de nos buttes qui font 1 m de large. Un modèle à 7 dents aurait permis d’avoir une largeur d’1 m mais l’outil aurait été trop lourd à l’usage répété. Des poignées réglables sur 30 cm qui s’adapteront à la hauteur des différents volontaires qui mesureront potentiellement de 1,5 à 2 m. Un angle d’environ 15° a été fait entre les manches et les dents, ce qui rend l’utilisation plus facile et évite de se prendre l’outil dans le torse en tirant sur les manches pour décompacter.  +
Dieses Tutorial wird nach dem Trockentoiletten-Modell gemacht, die von : [https://www.maisonsnomades.net/ Yves Desarzens, Maisons Nomades] herausgemacht wurden. Sie gehören zur Familie von den Toiletten mit biomaitrisem Wurf "TLB" Hier die Videoanleitung Diese Ausführung Trockentoilette ist für eine Haushaltsbedienung ausgedacht, in der Stadt oder auf dem Land, vorausgesetzt dass einen Bereich für die Kompostierung in der Nähe vergfügbar ist. Im Fall von der städtischen Umwelt, jenach Massstab und einen Kontext der Kollektivwohnngen können Schwierigkeiten entstehen, wie z. B. den Zugang zu einem Kompostierungsbereich und die Beförderung der "TLB" bis zu diesem Kompostierungsbereich. Das Wasserverbrauch und die klassischen Toiletten im Lebensraum. Die Toiletten mit klassischer Wasserspülung stellen 20 °/° des verbrauchten Trinkwassers eines Haushalts, so ungefähr 150 €/jährlich für einen 4-Personenhaushalt. In dem Haushaltsplan steht es an der zweiten Stelle, gerade nach dem Duschen (40°/°). Das für die Abspülung benutzte Wasser ist Trinkwasser (ausser seltenen Fällen, wobei das Regenwasser benutzt wird). Sobald es mit dem Kot in Berührung kommt, wird es zum "Schwarzwasser", das verschmutzt und für weitere Verwendungen unbrauchbar wird. Das Kot : Abfälle oder natürliche Ressource ? Im Durchschnitt, prodiziert ein Mensch jährlich eine Menge von 50 L festen Kot, und 500 L Urin. In Frankreich verwandelt jeden Tag eine einzige Person 30 L Trinkwasser in "Schwarzwasser". Im festen Kot befinden sich Minerialien und darunter Nitrogen(0,5 kg/Einwohner/Jahr), Phosphor (0,18 kg/Einwohner/Jahr) und Kalium (0,33 kg/Einwohner/Jahr), Krankheitserreger wie Bakterien, Viren, Parasiten und Produkte wie Antibiotika, je nach dem Gesundheitszustand des Verbrauchers. In Urin findet man Mineralien wie Nitrogen (4 kg/Einwohner/Jahr), Phosphor (0,33 kg/Einwohner/Jahr), und Kalium (0,8 kg/Einwohner/Jahr), und nur sehr selten Krankheitserreger. Diese Materialien, die generell wie "Abfall" betrachtet werden, werden durch die Rohrleitungen ins sogenannte "Schwarzes Wasser" entwässert. Danach folgt ein langes Reinigungsprozess in den Wasserreinigungsanlagen, die am Rande der Grossstädten zu finden sind, und die nebenbei bemerkt die bekannten Klärschlämme erzeugen, deren Aufwertung kompliziert ist. Dans le cas où l'on considère le processus de manière cyclique comme pour le fumier provenant des déjections d'animaux, il est possible de voir les excréments humains comme une '''ressource''': En respectant de bonnes conditions d'hygiène, ils peuvent être facilement compostés et transformés en un humus sans pathogène, qui n'a plus rien à voir avec les excréments. Pour les antibiotiques (en dehors d'utilisations importantes), les études montrent qu'il n'y a pas d'actions sur le compost de manière durable. Il est important de noter que le fumier animal déjà utilisé, contient à la base les mêmes types de contaminants dont les antibiotiques. Il est important de ne pas séparer l'urine du solide et de la matière carbonée : la cellulose présente dans la matière carbonée empêche la transformation de l'urée, riche en azote, en ions ammonium (source de mauvaise odeur dans les urinoirs par exemple). Cet effet a une autre conséquence positive très importante : si l'urine était restituée à la nature sans adjonction de cellulose, les ions ammonium se transformeraient en ions nitrites et causeraient une dégradation plus rapide de l'humus, tout l'inverse de l'effet escompté. Cette problématique est rencontrée dans certains contextes où la récupération d'urine à grande échelle a été pensée pour la création d'engrais. '''Les excréments une ressource grâce aux toilettes sèches''' Il existe de nombreux systèmes de toilettes sèches. Ici, le modèle proposé est dit à litière biomaitrisée '''TLB'''. C'est le plus simple des modèles, qui ne nécessite aucune ventilation. Ce modèle est constitué d'un seau en inox qui reçoit les déjections (urine et excrément), le papier toilette ainsi que de la matière végétale carbonée. Que ce soit dans la pièce où sont installées les toilettes, que dans la zone de compostage, très peu d'odeurs sont émises. (En fait pas plus que dans des toilettes à eau.) '''[http://www.eautarcie.org/05f.html Recette d'un bon compostage]''' 1) Un apport de matière végétale sèche riche en carbone (paille, feuille morte, sciure) 30 fois plus important que l'apport en excréments, riche en azote. 2) Une bonne aération du compost afin que les organismes "aérobies", qui ont besoin d'oxygène, puissent réaliser correctement le travail de décomposition. Les broyats participent à créer un compost bien aéré. '''Quel confort d'utilisation pour les toilettes sèches?''' '''+''' : Les TLB ne dégagent pas d'odeurs et ne créer pas de bruits indésirables contrairement aux toilettes classiques. '''-''' : Les TLB nécessitent de vider le seau régulièrement sur le compost (2 fois/semaine pour une famille de 4). '''En résumé''' L'utilisation de TLB permet la réduction de 20% de la consommation en eau de son foyer, donc de sa facture ainsi que la création d'un humus utilisable pour le jardin pour un confort d'utilisation égal voir supérieur aux toilettes classiques. '''Retrouvez dans [https://lowtechlab.org/assets/files/rapport-experimentation-habitat-low-tech-low-tech-lab.pdf ce rapport] une analyse à l'usage de ces toilettes sèches, ainsi que des 11 autres low-techs expérimentées lors du projet En Quête d'un Habitat Durable''' <br/><div class="icon-instructions info-icon"> <div class="icon-instructions-icon"><i class="fa fa-info-circle"></i></div> <div class="icon-instructions-text">L’utilisation de toilettes sèches permet de réduire la consommation en eau de son foyer mais surtout rend possible la gestion des biodéchets comme les excréments. Mais pas que ! L'urine est une ressource gratuite, riche en azote et phosphore, idéale pour la croissance de la spiruline et des plantes. Il est donc possible de fabriquer des toilettes sèches à séparateur d'urine pour rendre possible cette valorisation : http://wiki.lowtechlab.org/wiki/Toilettes_sèches_à_séparation_d%27urine</div> </div><br/>  
Advantages of a farming of edible crickets for humans <div class="mw-translate-fuzzy"> Nutrition </div> Insects are interesting in research of new sources of proteins and offer alternatives to our traditional and non sustainable way of consumption . The cricket's energy intake is 120 kcal/ 100g ( weight when it is fresh) and its average protein content is 8-25g/100g ( weight when it is fresh). The cricket appears to be a really good source of proteins, omega 3 and 6 fatty acids, and minerals: iron, zinc, magnesium, copper,... <div class="mw-translate-fuzzy"> Ecology/ economy </div> Insect farming asks less water and feed than bovine, sheep and pig farming: their feed conversion capacity (the ability of an animal to convert a given weight of feed to body weight, represented in kg feed per kg of weight gain of the animal) is higher than those of the farming mentioned above. For example, it takes 10 kg of feed to produce 1 kg of beef while it takes 1.7 kg of feed to produce 1 kg of crickets. The amount of greenhouse gases produced by insect farming is significantly less than that of livestock. From a logistical point of view, cricket farming has many advantages over large livestock farming: the area of land occupied is smaller, possible in urban areas. The low need for investment in infrastructure can enable poorer populations to start micro-farming, they can be raised on substrates made up of agricultural waste and fed with organic by-products. '''Please note''' : L'élevage qui est réalisé dans ce tutoriel est actuellement en cours de test dans le cadre de l’expédition [http://lowtechlab.org/wiki/Nomade_des_mers Nomade des Mers] UN TUTORIEL VIDEO EST DISPONIBLE [https://www.brut.media/fr/science-and-technology/voila-comment-fabriquer-une-ferme-a-grillons-71319fc0-a847-49a6-9e55-c9f23408f054 ICI] !  +