(Page créée avec « '''Once this is done''', connect the power cable of the Raspberry. The first startup can be a little long, because during this, '''the Raspberry is going to install the Ra... ») |
|||
Ligne 75 : | Ligne 75 : | ||
First, connect your Raspberry to the monitor and keyboard, '''without powering it on''', and plug in the SD card. | First, connect your Raspberry to the monitor and keyboard, '''without powering it on''', and plug in the SD card. | ||
− | '''Once this is done''', connect the power cable of the Raspberry. The first startup can be a little long, because during this, '''the Raspberry is going to install the Raspbian system'''. | + | '''Once this is done''', connect the power cable of the Raspberry. The first system startup can be a little long, because during this, '''the Raspberry is going to install the Raspbian system'''. |
Au cours de ce démarrage (et des suivants), vous verrez de nombreuses lignes de commandes défiler toutes seules. Il s’agit des commandes exécutées par le système afin de bien démarrer. N’en tenez pas compte, attendez simplement que le système ai fini de démarrer. | Au cours de ce démarrage (et des suivants), vous verrez de nombreuses lignes de commandes défiler toutes seules. Il s’agit des commandes exécutées par le système afin de bien démarrer. N’en tenez pas compte, attendez simplement que le système ai fini de démarrer. |
Prototype de Low-tech Lab | Catégories : Outils
A basic computer model that still meets most of our daily needs. All for a price not exceeding 30 euros!
A basic computer model that still meets most of our daily needs. All for a price not exceeding 30 euros!
ordinateur, raspberry pi, raspberry pi zero w, wikipedia, raspbian, récupération, recyclage, NomadeDesMers, nomade des mers
Today we will focus on a subject on the border between high and low tech: the computer! This extremely useful tool, which has become indispensable for most of us, is often too over-equipped for our usage. This obviously has an impact on its price, which excludes a large part of the world. Not to mention the environmental impact, especially because of the extraction of minerals needed for their manufacture, which, in most cases are rarely recycled at the end of their lifespan.
Today, we offer you a very basic computer model that still meets most of our daily needs:
- Classic "desktop processing" (document writing, creating slideshows, etc)
- "Internet browsing" (social media, sending emails, etc)
- A "very basic multimedia use" (no photo editing, video, etc)
All of this for a price not exceeding 30 euros! To do this, we will use a mini-computer, the "Rasberry Pi", in its simplest version the Rasberry Pi Zero W. For the other computer hardware (screen, keyboard, mouse) we will use those salvaged from old computers.
Be it a school that wants to create a computer lab, an individual who wants a machine for his home, a grandparent who wants to discover IT or an aspiring developer who wants to get into Linux, there are many reasons to build a desktop PC with Raspberry Pi.
Together, let us see how you can assemble your own desktop PC running on Linux built on top of Raspberry Pi.
The Raspberry Pi does not have a hard disk. Instead, it uses an SD card as its hard disk. We will have to install an operating system on it, here we will choose Raspbian, a robust distribution adapted for a large majority of uses and optimized for the Raspberry Pi. We recommend that you choose an SD card that is fast and reliable, the performance of the Raspberry Pi being strongly influenced by the quality of the chosen SD card.
You should now have a Raspbian 'zip' file, decompress it and you should get an 'img' file.
Insert your SD card into the card reader of your computer, and once it is recognized, launch Win32DiskImager and click on the icon representing a folder on the left of the 'Image File' field. (image 1) This will open a file explorer, go to the 'img' file generated previously by decompressing the Raspbian ZIP file.
On the right of the folder icon, in the 'Device' field, choose the drive corresponding to your MicroSD card, do not choose the wrong drive! (image 2)
Once this is done, click on the 'Write' button, you will then see the progress of the write operation of your image on your SD card.
The Raspbian card is ready, all you have to do is insert it in your Raspberry Pi and power on your computer.
Armed with your Raspberry Pi ZW kit and the hardware specified above, you should be able to proceed with the first system startup and install Raspbian (in fact you will see that the installation is done all by itself) .
First, connect your Raspberry to the monitor and keyboard, without powering it on, and plug in the SD card.
Once this is done, connect the power cable of the Raspberry. The first system startup can be a little long, because during this, the Raspberry is going to install the Raspbian system.
Au cours de ce démarrage (et des suivants), vous verrez de nombreuses lignes de commandes défiler toutes seules. Il s’agit des commandes exécutées par le système afin de bien démarrer. N’en tenez pas compte, attendez simplement que le système ai fini de démarrer.
Par ailleurs, au cours de démarrage, la led rouge devrait rester fixe et la verte clignoter quelques secondes puis s’éteindre. Si ce n’est pas le cas, et si la Raspberry ne semble pas démarrer sur l’écran, même après une trentaine de secondes, cela signifie qu’elle n’arrive pas à démarrer sur la carte. En fait, elle n’arrive pas à trouver le code lui permettant de « booter », et d’installer Raspbian.
Ce problème peut avoir plusieurs causes, mais la source est presque toujours la carte SD.
Si le problème ne vient pas de là, il peut venir d’un mauvais partitionnement de la carte, ou d’une mauvaise copie du système Raspbian. Dans ce cas, vous devrez re-partitionner votre carte, et réinstaller votre système Raspbian.
Une fois le système démarré, il va (peut-être) vous demander de vous identifier. Lors du premier démarrage le login par défaut est « pi », et le password est « raspberry ».
- Avec les systèmes Linux, les password ne sont pas affichés lorsqu’ils sont tapés. Ne vous étonnez donc pas de ne pas voir les traditionnelles petites étoiles lorsque vous allez taper votre mot de passe, et tapez-le normalement, puis validez en appuyant sur « Entrée ».
Si le mot de passe n’est pas bon, cela peut être dû au fait que le clavier est configuré en « QWERTY » et non en « AZERTY » par défaut. Il faudra alors taper « rqspberry » pour le mot de passe.
Voilà, vous avez accès au système, vous venez d’installer Raspbian ! Il ne vous reste donc plus qu’à configurer Raspbian !
L'ensemble de cette étape est extraite du site: https://raspbian-france.fr/installer-raspbian-premier-demarrage-configuration/
Si c’est votre premier démarrage, vous devriez vous retrouver devant une interface vous permettant de faire des choix de configuration. Cette interface se présente sous la forme d’un menu navigable au clavier.
Si cette interface n’apparaît pas au démarrage, vous pouvez l’obtenir en lançant le terminal et en utilisant la commande
sudo raspi-config
Une fois sur cette interface de configuration, nous allons configurer Raspbian pour que vous soyez dans des conditions optimales lors de vos prochaines utilisations, et que vous puissiez profiter au mieux de votre Raspberry.
Dans un premier temps, nous allons nous assurer que le système Raspbian utilise bien toute la carte (attention, cette étape n’est à faire que si vous utilisez seulement une distribution Raspbian sur votre carte SD. Si plusieurs versions cohabitent, comme avec NOOBS par exemple, alors n’exécutez pas cette étape).
Pour cela, vous allez vous positionner sur le premier choix « Expand Filesystem », et cliquer sur « Entrée ». Le menu va disparaître, et des lignes de commandes vont être exécutées. Une fois que le système a fini son travail, il vous affichera de nouveau une fenêtre du même type que le menu précédent, vous informant de la réussite de l’opération.
Validez, et vous êtes renvoyé sur le menu.
Si vous avez essayé de taper du texte, vous vous en êtes probablement rendu compte, le clavier a un comportement un peu étrange.
En fait, votre clavier est toujours configuré en « QWERTY », et non en « AZERTY », comme c’est la norme pour les claviers français. Nous allons donc régler ce problème.
Pour cela, choisissez de nouveau la quatrième ligne « Internationalisation options ».
Comme précédemment, vous arrivez sur un deuxième menu. Choisissez cette fois la troisième ligne « Change Keyboard Layout » il peut y avoir un certain temps avant l’affichage de la fenêtre (de façon général, l’ensemble des étapes pour le clavier peuvent être un peu longues).
Il faut absolument qu’un clavier soit branché pour pouvoir configurer le clavier !
Sur la nouvelle fenêtre, validez directement sans changer le type de clavier. Sauf cas particuliers, ce devrait être le bon. Une nouvelle autre fenêtre apparaît, choisissez « Autre ». Sur la nouvelle fenêtre, choisissez le clavier « Français », puis la disposition « Par défaut », « Pas de touche « compose » », et enfin « Non ».
Pour continuer dans l’internationalisation, nous allons passer tout le système en français.
Pour cela, nous allons modifier ce que l’on nomme les « locales ». Il s’agit d’un réglages définissant un ensemble de textes en plusieurs langues. Vous allez donc vous rendre sur le quatrième choix, « Internationalisation Options », et appuyer sur « Entrée ».
Vous allez cette fois choisir la première ligne, « Change Locale ».
Une fenêtre apparaît (elle peut mettre un petit peu de temps), et vous explique ce que sont les locales.
Vous allez descendre jusqu’à la ligne « en_GB.UTF-8 UTF-8 », et la sélectionner en appuyant sur la touche « Espace ». Un astérisque va alors apparaître entre les crochets précédent le choix (il est possible que la ligne soit déjà sélectionnée dès le départ. Dans ce cas, gardez là sélectionnée, c’est à dire avec un astérisque affiché entre les crochets).
Vous allez de nouveau descendre, cette fois jusqu’à la ligne « fr_FR.UTF-8 UTF-8 », et répéter la même opération que précédemment.
Vous allez maintenant vous déplacer sur le champ « Ok » en bas à gauche de la fenêtre. Pour cela, appuyez sur la touche tabulation (la touche avec les deux flèches). Puis validez.
Une nouvelle fenêtre va apparaître vous demandant de choisir les locales par défaut. Déplacez-vous sur fr_FR.UTF-8, puis utilisez de nouveau la touche tabulation pour aller sur « Ok », et validez.
Le système va de nouveau exécuter des commandes. Ces dernières risquent de prendre un peu de temps. Une fois ces commandes terminées, vous serez de nouveau devant le menu de configuration basique (ce dernier restera probablement en anglais, c’est normal).
La vidéo suivante reprend l'ensemble des étapes décrites ci-dessus: https://www.youtube.com/watch?time_continue=24&v=9QHIS36LxE4
L'ensemble de cette étape est disponible sur le site: https://raspbian-france.fr/installer-raspbian-premier-demarrage-configuration/
Nous proposons d'utiliser l'ordinateur Low-tech afin de pouvoir consulter Wikipédia hors ligne.
Pour cela, nous utiliserons le logiciel Kiwix. Ce logiciel libre permet d'avoir toute l'encyclopédie Wikipédia (et bien d'autres contenus!) sous la main, où que vous soyez ! Sur un bateau, au milieu de nulle part ou encore en prison, il permet un accès à l'ensemble de la connaissance humaine. Vous n'avez pas besoin d'accès à Internet, tout est stocké sur votre ordinateur, votre clef USB ou DVD !
Pour cela vous aurez besoin de:
Nous présenterons deux options d'installation un peu différentes:
Le KIWIX Reader vous permet de consulter hors ligne, sans connexion Internet, des packs de contenu (Wikipédia, TEDx, ....) au format ZIM. Il est disponible pour tous les principaux systèmes d'exploitation (Windows, Mac, GNU/Linux, Android) . Il se présente sous la forme d'une application autonome ou d'un plug-in de navigateur. Installer-le et consulter le contenu de Wikipédia directement sur votre ordinateur Low-tech.
KIWIX Hotspot vous permet de transformer un mini-ordinateur bon marché comme le Raspberry Pi en un relais pour distribuer du contenu gratuit, sans connexion internet, via un réseau local. Cette solution est particulièrement utile pour les écoles, les bibliothèques, les communautés, les organisations humanitaires, etc. Les utilisateurs finaux n'ont besoin que d'un appareil pouvant détecter le réseau avec un navigateur, ils n'ont pas besoin de télécharger et d'installer quoi que ce soit sur leurs appareils. KIWIX Hotspot fonctionne sous Windows, macOS et Linux.
Nous détaillerons ici l'installons sous le système d'exploitation Windows PC mais toutes les versions sont disponibles [[1]].
Pour réaliser cette installation vous aurez besoin de :
- un ordinateur (fonctionnant sous Windows, macOS ou GNU/Linux) avec un lecteur de carte SD.
- une carte microSD (ou SD en fonction du modèle de Raspberry Pi que vous utilisez). Choisissez une de bonne qualité et avec une mémoire adaptée à la taille du contenu que vous souhaitez diffuser. 32GB est un bon début. Pour la version lourde de Wikipédia English, vous aurez besoin de 128GB ou plus.
L'installation peut prendre plusieurs heures. Ne pas l'interrompre même si vous avez l'impression que rien ne se passe. Attendez qu'une boite de dialogue vous indique que l'installation est terminée. Faites attention à ce que votre ordinateur ne se mette pas en mode Veille.
- Installation et configuration de Raspbian : https://raspbian-france.fr/installer-raspbian-premier-demarrage-configuration/
- Créez votre ordinateur de bureau sous Linux pour moins de 200€ avec la Raspberry Pi : https://raspbian-france.fr/ordinateur-bureau-linux-raspberry-pi/
- Installer et utiliser KIWIX sous Windows ou macOS : https://www.kiwix.org/en/documentation/installing-and-using-kiwix-on-windows-or-macos/
- Comment configurer KIWIX Hotspot : https://www.kiwix.org/en/documentation/how-to-set-up-kiwix-hotspot/
en fr 1 Published
Vous avez entré un nom de page invalide, avec un ou plusieurs caractères suivants :
< > @ ~ : * € £ ` + = / \ | [ ] { } ; ? #