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|Step_Content=<translate>Pour réaliser cette étape, vous avez deux options : | |Step_Content=<translate>Pour réaliser cette étape, vous avez deux options : | ||
− | - <u>Facile</u> - comprendre les évolutions à venir sur les précipitations et partir de ce raisonnement pour la récupération d'eau chez soi | + | - <u>Facile</u> - '''comprendre les évolutions à venir sur les précipitations et partir de ce raisonnement pour la récupération d'eau chez soi''' |
− | - <u>Difficulté moyenne</u> - utiliser le site https://drias-climat.fr qui permet de visualiser les données climatiques produites par le GIEC / MétéoFrance / CERFACS / etc. | + | - <u>Difficulté moyenne</u> - '''utiliser le site https://drias-climat.fr qui permet de visualiser les données climatiques produites par le GIEC / MétéoFrance / CERFACS / etc.''' |
− | '''Comprendre les évolutions à venir sur les précipitations et partir de ce raisonnement pour la récupération d'eau chez soi''' | + | '''<u>Option 1 : Comprendre les évolutions à venir sur les précipitations et partir de ce raisonnement pour la récupération d'eau chez soi</u>''' |
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− | '' | + | ''Quelques"pépites" pour comprendre les changements climatiques'' |
− | * Nous allons réfléchir à différentes périodes. La période 2015-2025. La période 2030-2040 pour lesquelles les projections climatiques sont disponibles. La période 2050-2060 pour lesquelles les projections climatiques sont disponibles. | + | *Nous allons réfléchir à différentes périodes. La période 2015-2025. La période 2030-2040 pour lesquelles les projections climatiques sont disponibles. La période 2050-2060 pour lesquelles les projections climatiques sont disponibles. |
− | * Les "normales" de saison, présentées à la télé à la météo, n'existent pas dans l'absolu, encore moins en contexte de changements climatiques. Les "normales" jusqu'à là utilisées par MétéoFrance étaient les moyennes de toutes les années entre 1980 et 2010. Depuis le 28 juin 2022 ([https://www.ladepeche.fr/2022/06/27/meteo-quelles-sont-les-nouvelles-normales-de-saison-en-france-10400058.php voir article]), les nouvelles "normales" sont d'ailleurs calculées sur la base des moyennes des années de la période 1990-2020. Ce qui va nous intéresser pour comprendre l'impact des changements climatiques en terme de pluviométrie ce ne sont pas les "écarts par rapport à la moyenne", c'est simplement ce que ça change concrètement parlant. | + | *Les "normales" de saison, présentées à la télé à la météo, n'existent pas dans l'absolu, encore moins en contexte de changements climatiques. Les "normales" jusqu'à là utilisées par MétéoFrance étaient les moyennes de toutes les années entre 1980 et 2010. Depuis le 28 juin 2022 ([https://www.ladepeche.fr/2022/06/27/meteo-quelles-sont-les-nouvelles-normales-de-saison-en-france-10400058.php voir article]), les nouvelles "normales" sont d'ailleurs calculées sur la base des moyennes des années de la période 1990-2020. Ce qui va nous intéresser pour comprendre l'impact des changements climatiques en terme de pluviométrie ce ne sont pas les "écarts par rapport à la moyenne", c'est simplement ce que ça change concrètement parlant. |
− | * Ce qui est une année sèche en 1990-2020 n'est pas une année sèche en 2040-2050. La sécheresse exceptionnelle de 2022, qui nous apparaît être une sécheresse très conséquente, va devenir sur plusieurs régions la norme aux alentours de 2050. Autrement dit la moyenne de la période 2040-2060. | + | *Ce qui est une année sèche en 1990-2020 n'est pas une année sèche en 2040-2050. La sécheresse exceptionnelle de 2022, qui nous apparaît être une sécheresse très conséquente, va devenir sur plusieurs régions la norme aux alentours de 2050. Autrement dit la moyenne de la période 2040-2060. |
− | * Si on prend une période climatique de 5 ans, il y a toujours au moins une année plus sèche (en terme de précipitations) et une année plus humide (en terme de précipitations). Repensez au climat des 5 dernières années. Si nous prenons une projection climatique comme la période 2030-2040 il est donc possible de dire qu'autour d'une moyenne il y aura toujours des années plus sèches et des années plus humides. | + | *Si on prend une période climatique de 5 ans, il y a toujours au moins une année plus sèche (en terme de précipitations) et une année plus humide (en terme de précipitations). Repensez au climat des 5 dernières années. Si nous prenons une projection climatique comme la période 2030-2040 il est donc possible de dire qu'autour d'une moyenne il y aura toujours des années plus sèches et des années plus humides. |
− | * Les projections climatiques nous donnent une idée des tendances, mais non des données ultra-précises à une échelle du territoire. | + | *Les projections climatiques nous donnent une idée des tendances, mais non des données ultra-précises à une échelle du territoire. |
''Quelles tendances pour l'évolution des précipitations'' : | ''Quelles tendances pour l'évolution des précipitations'' : | ||
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− | * D'un point de vue factuel l'augmentation globale des températures encourage des extrêmes climatiques : des précipitations intenses à un certain moment ("quand il pleut il pleut") et des longues périodes avec peu ou sans précipitations à d'autres ("quand ça veut pas ça veut pas"). | + | *D'un point de vue factuel l'augmentation globale des températures encourage des extrêmes climatiques : des précipitations intenses à un certain moment ("quand il pleut il pleut") et des longues périodes avec peu ou sans précipitations à d'autres ("quand ça veut pas ça veut pas"). |
− | * Si vous résidez dans des territoires très habitués à ce phénomène (exemple : Cévennes), ce phénomène va s'amplifier. Une augmentation des précipitations intenses d'un côté, et des périodes sans précipitations de l'autre. | + | *Si vous résidez dans des territoires très habitués à ce phénomène (exemple : Cévennes), ce phénomène va s'amplifier. Une augmentation des précipitations intenses d'un côté, et des périodes sans précipitations de l'autre. |
− | * Si vous résidez dans des territoires habitués à des précipitations très régulières tout au long de l'année, le phénomène de précipitations intenses / périodes avec moins de précipitations va s'amplifier. De manière assez contre-intuitive peut être, il est à souligner que c'est une des raisons pour lesquelles les régions les plus habituées aux précipitations régulières vont être très impactées par les changements climatiques. Tout ce qui est habitué à des précipitations très régulières peut potentiellement être impacté. | + | *Si vous résidez dans des territoires habitués à des précipitations très régulières tout au long de l'année, le phénomène de précipitations intenses / périodes avec moins de précipitations va s'amplifier. De manière assez contre-intuitive peut être, il est à souligner que c'est une des raisons pour lesquelles les régions les plus habituées aux précipitations régulières vont être très impactées par les changements climatiques. Tout ce qui est habitué à des précipitations très régulières peut potentiellement être impacté. |
*Jusqu'aux alentours de 2040-2050, pour beaucoup de régions de métropole, le <u>cumul annuel moyen</u> des précipitations restera le même. Ce n'est pas qu'il pleuvra plus ou moins. C'est qu'il ne pleuvra plus pareil : augmentation des périodes avec précipitations intenses d'un côté, augmentation des périodes avec peu ou pas de précipitations de l'autre. Augmentation des extrêmes climatiques. | *Jusqu'aux alentours de 2040-2050, pour beaucoup de régions de métropole, le <u>cumul annuel moyen</u> des précipitations restera le même. Ce n'est pas qu'il pleuvra plus ou moins. C'est qu'il ne pleuvra plus pareil : augmentation des périodes avec précipitations intenses d'un côté, augmentation des périodes avec peu ou pas de précipitations de l'autre. Augmentation des extrêmes climatiques. | ||
*Si le cumul annuel moyen des précipitations restera approximativement le même pour beaucoup de régions jusqu'en 2050 pour beaucoup de régions de métropole, le cumul saisonnier moyen pourra changer. Certaines régions verront par exemple les pluies être plus conséquentes en hiver, et moins conséquentes en été. Même si le cumul annuel ne change pas trop, le cumul saisonnier peut changer (voir image 1 ci-contre). | *Si le cumul annuel moyen des précipitations restera approximativement le même pour beaucoup de régions jusqu'en 2050 pour beaucoup de régions de métropole, le cumul saisonnier moyen pourra changer. Certaines régions verront par exemple les pluies être plus conséquentes en hiver, et moins conséquentes en été. Même si le cumul annuel ne change pas trop, le cumul saisonnier peut changer (voir image 1 ci-contre). | ||
− | ''Ce que ça change pour la récupération d'eau de pluie'' | + | ''Ce que ça change pour la récupération d'eau de pluie :''<br /> |
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+ | *Les phénomènes de type "''quand il pleut, il pleut''" et de type périodes sans pluie vont s'amplifier. | ||
+ | *Plusieurs réflexions en terme de dimensionnement des installations de récupération d'eau de pluie sont présentées à l'étape suivante : "''Étape 5 : Dimensionner ses projets basés sur la récupération d'eaux de pluie''" | ||
− | ''' | + | '''<u>Option 2 : Utiliser le site https://drias-climat.fr qui permet de visualiser les données climatiques produites par le GIEC / MétéoFrance / CERFACS / etc.</u>''' |
− | Nous cherchons à nous faire une idée de l'évolution du nombre de mm de pluie qui va tomber en fonction de chaque saison. | + | Nous cherchons à nous faire une idée de l'évolution du nombre de mm de pluie qui va tomber en fonction de chaque saison. |
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− | + | Option 2 : réalisez la démarche vous-même à partir de http://drias-climat.fr/decouverte . Les paramétrages utilisés pour l'exemple sont présentés dans l'image 2 ci-contre). | |
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Pour lire la carte : | Pour lire la carte : | ||
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*Les données pluviométriques que vous visualiserez sur l'horizon 2041-2070 représentent en quelque sorte la moyenne pluviométrique des saisons aux alentours de 2050-2060. | *Les données pluviométriques que vous visualiserez sur l'horizon 2041-2070 représentent en quelque sorte la moyenne pluviométrique des saisons aux alentours de 2050-2060. | ||
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− | + | Analyse :'' | |
L'exemple pris concerne une zone du Jura. Sur le Jura, grâce à cette visualisation, il est possible de voir apparaître les tendances. Dans mon cas cela donne : | L'exemple pris concerne une zone du Jura. Sur le Jura, grâce à cette visualisation, il est possible de voir apparaître les tendances. Dans mon cas cela donne : | ||
*hiver : légère augmentation progressive de la pluviométrie hivernale (cumul). | *hiver : légère augmentation progressive de la pluviométrie hivernale (cumul). | ||
− | *printemps : légère augmentation progressive de la pluviométrie printanière (cumul) | + | *printemps : légère augmentation progressive de la pluviométrie printanière (cumul). |
− | *été : nette diminution de la pluviométrie estivale (cumul) | + | *été : nette diminution de la pluviométrie estivale (cumul). |
− | *automne : pas de modification au niveau de la pluviométrie automnale (cumul) | + | *automne : pas de modification au niveau de la pluviométrie automnale (cumul). |
− | Aussi | + | Aussi, couplé aux éléments vus dans la rubrique "''Comprendre les évolutions à venir sur les précipitations et partir de ce raisonnement pour la récupération d'eau chez soi''", les tendances sont les suivantes |
- des printemps plus chauds où les températures peuvent faire apparaitre des précipitations intenses et plus fortes. Il se peut que ses précipitations soient parfois rapprochées de la période hivernale et qu'elles soient suivies par des périodes sans pluie. | - des printemps plus chauds où les températures peuvent faire apparaitre des précipitations intenses et plus fortes. Il se peut que ses précipitations soient parfois rapprochées de la période hivernale et qu'elles soient suivies par des périodes sans pluie. | ||
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- des automnes plus chauds avec des épisodes pluvieux plus intenses. | - des automnes plus chauds avec des épisodes pluvieux plus intenses. | ||
− | - des hivers plus chauds et peut être même plus humides. | + | - des hivers plus chauds et peut être même plus humides. |
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− | + | Éléments potentiellement intéressants visualisables avec Drias-Climat sur cette thématique : | |
− | - | + | - moyenne du cumul des précipitations (mm), par saison |
− | - | + | - moyenne du nombre de jours de fortes précipitations (plus de 2cm de précipitations / jour) |
− | - | + | - moyenne du nombre de jours sans pluie (moins de 1mm) |
− | + | ℹles données que vous visualisez sont des estimations de moyennes. Autrement dit : autour de ces moyennes il y aura des années plus humides, et des années plus sèches. Les estimations climatiques donnent une idée de tendances, et non de données précises.</translate> | |
|Step_Picture_00=Estimation_d_une_volume_d_eau_r_cup_rable_par_une_toiture_et_changements_climatiques_Evolution_du_r_gime_pluviom_trie.png | |Step_Picture_00=Estimation_d_une_volume_d_eau_r_cup_rable_par_une_toiture_et_changements_climatiques_Evolution_du_r_gime_pluviom_trie.png | ||
|Step_Picture_01=Estimation_d_une_volume_d_eau_r_cup_rable_par_une_toiture_et_changements_climatiques_Evolution_du_r_gime_pluviom_trie_2.png | |Step_Picture_01=Estimation_d_une_volume_d_eau_r_cup_rable_par_une_toiture_et_changements_climatiques_Evolution_du_r_gime_pluviom_trie_2.png | ||
|Step_Picture_02=Estimation_d_une_volume_d_eau_r_cup_rable_par_une_toiture_et_changements_climatiques_Evolution_du_r_gime_pluviom_trie_3.png | |Step_Picture_02=Estimation_d_une_volume_d_eau_r_cup_rable_par_une_toiture_et_changements_climatiques_Evolution_du_r_gime_pluviom_trie_3.png | ||
|Step_Picture_03=Estimation_d_une_volume_d_eau_r_cup_rable_par_une_toiture_et_changements_climatiques_Cumul_pr_cipiptations_-_projections.png | |Step_Picture_03=Estimation_d_une_volume_d_eau_r_cup_rable_par_une_toiture_et_changements_climatiques_Cumul_pr_cipiptations_-_projections.png | ||
+ | |Step_Picture_04=Estimation_d_une_volume_d_eau_r_cup_rable_par_une_toiture_et_changements_climatiques_Jours_forte_pr_cipitations.png | ||
}} | }} | ||
{{Tuto Step | {{Tuto Step |
Tutorial de Thomas Wolff | Catégories : Habitat, Eau
L'eau de pluie, précieuse, peut être récupérée et valorisée. Ce tutoriel vous permettra d'estimer les volumes d'eau qu'il est possible de récupérer grâce à votre toiture (exemple : toit de maison, garage, cabanon, etc.) pour vos projets. Il vous permettra également d'avoir une idée dont des changements climatiques liés aux précipitations et la manière dont cela va changer les volumes d'eau de pluie qu'il est possible de récupérer grâce une toiture.
L'eau de pluie, précieuse, peut être récupérée et valorisée. Ce tutoriel vous permettra d'estimer les volumes d'eau qu'il est possible de récupérer grâce à votre toiture (exemple : toit de maison, garage, cabanon, etc.) pour vos projets. Il vous permettra également d'avoir une idée dont des changements climatiques liés aux précipitations et la manière dont cela va changer les volumes d'eau de pluie qu'il est possible de récupérer grâce une toiture.
eau, climat, eau de pluie, récupération, pluie, toit
Ce tutoriel s'inscrit dans une série de tutoriels destinés à la récupération des eaux (eaux de pluie, eaux de douche, etc.) en vue de leur réutilisation-valorisation.
Ce tutoriel permet :
- de se faire une idée des volumes d'eau qu'il potentiellement possible de récupérer grâce à une toiture (exemples : maison, garage, cabanon, etc.)
- d'approfondir la manière dont les changements climatiques vont influencer les précipitations sur les prochaines décennies, et donc la quantité d'eau qu'il est potentiellement possible de récupérer via une toiture
Un ordinateur avec une connexion internet.
Rappel :
Pour connaître les volumes d'eau mois par mois qu'une toiture peut potentiellement permettre de récupérer, il va nous falloir deux informations :
- la superficie de votre toiture
- les données relatives aux précipitations, spécifiques à votre commune
Le volume d'eau de pluie potentiellement récupérable sur un mois = pluviométrie du mois en question x surface de la toiture.
Mesurez la superficie de votre toiture (exemple : garage, maison, etc) en m²
Notes :
Rappel :
Pour connaître les volumes d'eau mois par mois qu'une toiture peut potentiellement permettre de récupérer, il va nous falloir deux informations :
- la superficie de votre toiture
- les données relatives aux précipitations, spécifiques à votre commune
Le volume d'eau de pluie potentiellement récupérable sur un mois = pluviométrie du mois en question x surface de la toiture.
Notez, pour chaque mois, le nombre de mm de pluie "habituel" qui tombe sur votre commune (précipitations)
Notes :
Rappels :
Estimez les volumes d'eau de pluie potentiellement récupérables grâce à votre toiture :
Notes :
Pour réaliser cette étape, vous avez deux options :
- Facile - comprendre les évolutions à venir sur les précipitations et partir de ce raisonnement pour la récupération d'eau chez soi
- Difficulté moyenne - utiliser le site https://drias-climat.fr qui permet de visualiser les données climatiques produites par le GIEC / MétéoFrance / CERFACS / etc.
Option 1 : Comprendre les évolutions à venir sur les précipitations et partir de ce raisonnement pour la récupération d'eau chez soi
Quelques"pépites" pour comprendre les changements climatiques
Quelles tendances pour l'évolution des précipitations :
Ce que ça change pour la récupération d'eau de pluie :
Option 2 : Utiliser le site https://drias-climat.fr qui permet de visualiser les données climatiques produites par le GIEC / MétéoFrance / CERFACS / etc.
Nous cherchons à nous faire une idée de l'évolution du nombre de mm de pluie qui va tomber en fonction de chaque saison.
Les données climatiques nous renseignent sur les tendances.
Option 2 : réalisez la démarche vous-même à partir de http://drias-climat.fr/decouverte . Les paramétrages utilisés pour l'exemple sont présentés dans l'image 2 ci-contre).
Pour lire la carte :
Analyse :
L'exemple pris concerne une zone du Jura. Sur le Jura, grâce à cette visualisation, il est possible de voir apparaître les tendances. Dans mon cas cela donne :
Aussi, couplé aux éléments vus dans la rubrique "Comprendre les évolutions à venir sur les précipitations et partir de ce raisonnement pour la récupération d'eau chez soi", les tendances sont les suivantes
- des printemps plus chauds où les températures peuvent faire apparaitre des précipitations intenses et plus fortes. Il se peut que ses précipitations soient parfois rapprochées de la période hivernale et qu'elles soient suivies par des périodes sans pluie.
- des étés plus chauds et secs avec des épisodes pluvieux plus intenses. C'est particulièrement à cette période que nous utilisons le plus d'eau de pluie que nous récupérons.
- des automnes plus chauds avec des épisodes pluvieux plus intenses.
- des hivers plus chauds et peut être même plus humides.
Éléments potentiellement intéressants visualisables avec Drias-Climat sur cette thématique :
- moyenne du cumul des précipitations (mm), par saison
- moyenne du nombre de jours de fortes précipitations (plus de 2cm de précipitations / jour)
- moyenne du nombre de jours sans pluie (moins de 1mm)
ℹles données que vous visualisez sont des estimations de moyennes. Autrement dit : autour de ces moyennes il y aura des années plus humides, et des années plus sèches. Les estimations climatiques donnent une idée de tendances, et non de données précises.
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