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For a long time, the problem with filters was that they took too long to filter. Numerous solutions have been proposed over the years to improve their cost-effectiveness, while bearing in mind that their composition will have to use easily accessible materials. The biosand filter was an innovation that solved this problem thanks to its simple installation and it is for domestic use. It works in several stages, which can be summarised as follows Water is poured into the top of the filter, where a diffuser plate placed above the sand disperses the force of the water. By gravity, the water then slowly passes through the layer of sand, then gravel, before reaching the pipe at the base of the filter. At this point, the water is pushed through the pipe embedded in the concrete cover and exits the filter, ready for use.
As with all slow sand filters, there is a combination of biological and mechanical action to remove pathogens from the water. When the water is poured over the top, its organic components remain on the surface of the fine sand and form (after one to three weeks) a bacterial film.
+Longtemps les filtres ont connu la problématiques sur la lenteur de filtration lors de leur utilisation. De nombreuses solutions ont été proposé au fil des années pour améliorer leur rentabilité, tout en tenant compte que sa composition devra mettre en œuvre des matériaux facilement accessible. Le filtre biosable a été une innovation qui a palier a cette problématique par son montage simple et à usage intermittents ou domestiques. Son fonctionnement se divise en plusieurs étapes qui se résume comme suit l’eau est versée en haut du filtre, où un plateau diffuseur placé au-dessus du sable dissipe la force de l’eau. Par gravité, l’eau traverse alors lentement la couche de sable, puis de graviers, avant d’atteindre le tuyau à la base du filtre. A cet endroit, l’eau est poussée à travers le tuyau encastré dans l’enveloppe de béton et sort du filtre, prête à l’usage.
Comme pour tous les filtres à sable lents, il y a une combinaison d’actions biologique et mécanique pour enlever les agents pathogènes de l’eau. Quand l’eau est versée en haut, ses composants organiques restent à la surface du sable fin et forment (au bout d’une à trois semaines) un film bactérien.
+Longtemps les filtres ont connu la problématiques sur la lenteur de filtration lors de leur utilisation. De nombreuses solutions ont été proposé au fil des années pour améliorer leur rentabilité, tout en tenant compte que sa composition devra mettre en œuvre des matériaux facilement accessible. Le filtre biosable a été une innovation qui a palier a cette problématique par son montage simple et à usage intermittents ou domestiques. Son fonctionnement se divise en plusieurs étapes qui se résume comme suit l’eau est versée en haut du filtre, où un plateau diffuseur placé au-dessus du sable dissipe la force de l’eau. Par gravité, l’eau traverse alors lentement la couche de sable, puis de graviers, avant d’atteindre le tuyau à la base du filtre. A cet endroit, l’eau est poussée à travers le tuyau encastré dans l’enveloppe de béton et sort du filtre, prête à l’usage.
Comme pour tous les filtres à sable lents, il y a une combinaison d’actions biologique et mécanique pour enlever les agents pathogènes de l’eau. Quand l’eau est versée en haut, ses composants organiques restent à la surface du sable fin et forment (au bout d’une à trois semaines) un film bactérien.
+Nous transformons une vieille remorque de route multi-usages en atelier mobile avec des plusieurs caisses d'outillages que nous chargerons dans la remorque suivant les usages et les chantiers sur lequel elle se déplacera.
'''<u>Caisse à outil de base / tous usages</u>'''
- Marteau
- Tournevis : plat et cruciforme
- Pinces : multiprise et coupante, tenaille
- Jeu de clés plates
- Niveau
- Règle, réglet, raporteur, pied à coulisse et équerre
- Perceuse - visseuse avec jeu de mèches à bois et métal + jeu de têtes de visses
- Cutter et paire de ciseau
- Scies : à bois et à étau (métal)
- Crayons et feutres avec un bloc de papier
- Scotchs : grey tape, de peinture et chatterton
- Bombe de dégripant WD40
- Papier à poncer et cale à poncer
- Etaus avec serre joint pour fixer sur le plan de travail
- Serres-joints
- Caisse de visseries en tous genres : visses plates, visses cruciforme, rondelles, boulons, écrous, etc.
- Caisse de clous de toutes tailles
- Ralonge électrique avec multiprises 4 prises 220V et 2 ports USB
- Lumière
- Toile de tente avec armature pour se protéger de la pluie ou du soleil au dessus de la remorque
- Bancs pour s'assoir au postes de travail
<u>'''Caisse pédalier multifonction'''</u>
- Embout perceuse
- Embout machine à coudre
- Embout meuleuse
- Embout ponceuse à bandes
'''<u>Caisse spéciale Bois (en plus de la caisse à outil de base)</u>'''
- Rabot à main
- Maillet
- Ciseaux à bois
- Scie circulaire électroportative
- Rabot électrique
- Ponceuse à main
- Scie sauteuse
- Tréteaux
- Fausse équerre
'''<u>Caisse spéciale Métal (en plus de la caisse à outil de base)</u>'''
- Pointeau
- Coupe tube
- Riveteuse et rivets
- Meuleuse
- Discqueuse
- Poste à souder à l'arc
'''<u>Caisse spéciale Electricité</u>'''
- Tournevis éléctricien
- Pince coupe fils + pince à dénuder
- Voltmètre
- Fer à souder étain
- Pompe à déssouder
- Ralonges électriques
- Raccord et dominos électriques
'''<u>Caisse spéciale Cuisine</u>'''
- Réchaud à gaz avec bonbonnes de recharge
- Gamelle avec couvercle (casserole)
- Bouilloire
- Glacière
- Verres
- Couverts et assiettes
- Saladiers
- Bidon d'eau
- Garde manger avec Riz, Pâtes, Lentilles, Légumes et Fruits. Thé et Café.
- Four solaire low tech
Liste non-exhaustive de plusieurs solutions possibles pour le travail du sol :
* labourer le sol (mauvais pour de nombreuses raisons, voir les travaux du couple Lydia et Claude Bourguignon)
* le retourner en superficie : solution la plus rapide et efficace en le faisant à la motobineuse (1 jour pour 200m² environ), mais demande le matériel et l’essence. A la main prend un temps beaucoup plus important.
* le décompacter : fourche (mal adaptée et fragile), ou outil type grelinette / guerilu qui est la version plus solide en métal, pour aérer le sol sans perturber les écosystèmes et microbiottes. Les modèles premiers prix sont mal adaptés à un sol lourd, les dents se plient, les manches se cassent etc. Il faut mettre 100-150€ pour une grelinette de qualité.
* le bâcher : pour permettre au couvert végétal de se décomposer et à la faune du sol (vers de terre notamment) d’aérer le sol sans avoir à agir dessus. l’inconvénient de cette méthode est qu’elle demande du temps, au moins plusieurs semaines de bâchage, et elle demande d’avoir potentiellement une grande surface de bâche plastique. On pourrait imaginer le faire en récupérant et en cousant des sacs de café en toile de jute.
J’ai orienté la conception vers un "Guerilu", modèle plus solide en métal, avec des dents plus épaisses que les modèles du commerce (ici de Ø15 mm), à 5 dents qui permet d’avoir la largeur de 80cm soit la partie cultivable de nos buttes qui font 1 m de large. Un modèle à 7 dents aurait permis d’avoir une largeur d’1 m mais l’outil aurait été trop lourd à l’usage répété.
Des poignées réglables sur 30 cm qui s’adapteront à la hauteur des différents volontaires qui mesureront potentiellement de 1,5 à 2 m.
Un angle d’environ 15° a été fait entre les manches et les dents, ce qui rend l’utilisation plus facile et évite de se prendre l’outil dans le torse en tirant sur les manches pour décompacter.
+---[Updated on January 21, 2024]--- In France, following the emergence of a Covid-19 variant and the recommendations of The High Council for Public Health, the minister of health, Olivier Veran, recommends not using artisanal masks (home-made) in public spaces anymore. However, Class 1 masks are sufficient.
Here is my face mask for covid times. It's following as much as possible the newest official recommendations. We are in October 2020 as I share this tutorial. Please check the applicable recommendations when you read this tutorial.
It's a "3 folds" masks, with some improvements in terms of comfort, aesthetics and I hope practicality. The initial goal was to create a mask with no damage to the skin and which is not tickling the nose like the disposable ones, and of course to follow an eco-friendly approach (salvage and saving).
If you want a more customizable mask, check out my other totorial "COMPLETE VERSION".
The cost given here is informative as we can use recycled fabric.
The indicated time is approximate, depending on your dexterity, the tools used (machine or not), the desire to take your time or to do it fast, etc.
Fabric choice:
Regularly check Afnor recommendations (French organisation):
[https://masques-barrieres.afnor.org/ https://masques-barrieres.afnor.org]
and recommended materials: https://www.ifth.org/wp-content/uploads/2020/04/base-de-donnees-matieres-resultats-dga-maj-28042020.pdf
+Dieses Tutorial wird nach dem Trockentoiletten-Modell gemacht, die von :
[https://www.maisonsnomades.net/ Yves Desarzens, Maisons Nomades]
herausgemacht wurden.
Sie gehören zur Familie von den Toiletten mit biomaitrisem Wurf "TLB"
Hier die Videoanleitung
Diese Ausführung Trockentoilette ist für eine Haushaltsbedienung ausgedacht, in der Stadt oder auf dem Land, vorausgesetzt dass einen Bereich für die Kompostierung in der Nähe vergfügbar ist.
Im Fall von der städtischen Umwelt, jenach Massstab und einen Kontext der Kollektivwohnngen können Schwierigkeiten entstehen, wie z. B. den Zugang zu einem Kompostierungsbereich und die Beförderung der "TLB" bis zu diesem Kompostierungsbereich.
Das Wasserverbrauch und die klassischen Toiletten im Lebensraum.
Die Toiletten mit klassischer Wasserspülung stellen 20 °/° des verbrauchten Trinkwassers eines Haushalts, so ungefähr 150 €/jährlich für einen 4-Personenhaushalt. In dem Haushaltsplan steht es an der zweiten Stelle, gerade nach dem Duschen (40°/°).
Das für die Abspülung benutzte Wasser ist Trinkwasser (ausser seltenen Fällen, wobei das Regenwasser benutzt wird). Sobald es mit dem Kot in Berührung kommt, wird es zum "Schwarzwasser", das verschmutzt und für weitere Verwendungen unbrauchbar wird.
Das Kot : Abfälle oder natürliche Ressource ?
Im Durchschnitt, prodiziert ein Mensch jährlich eine Menge von 50 L festen Kot, und 500 L Urin. In Frankreich verwandelt jeden Tag eine einzige Person 30 L Trinkwasser in "Schwarzwasser".
Im festen Kot befinden sich Minerialien und darunter Nitrogen(0,5 kg/Einwohner/Jahr), Phosphor (0,18 kg/Einwohner/Jahr) und Kalium (0,33 kg/Einwohner/Jahr), Krankheitserreger wie Bakterien, Viren, Parasiten und Produkte wie Antibiotika, je nach dem Gesundheitszustand des Verbrauchers.
In Urin findet man Mineralien wie Nitrogen (4 kg/Einwohner/Jahr), Phosphor (0,33 kg/Einwohner/Jahr), und Kalium (0,8 kg/Einwohner/Jahr), und nur sehr selten Krankheitserreger.
Diese Materialien, die generell wie "Abfall" betrachtet werden, werden durch die Rohrleitungen ins sogenannte "Schwarzes Wasser" entwässert. Danach folgt ein langes Reinigungsprozess in den Wasserreinigungsanlagen, die am Rande der Grossstädten zu finden sind, und die nebenbei bemerkt die bekannten Klärschlämme erzeugen, deren Aufwertung kompliziert ist.
Dans le cas où l'on considère le processus de manière cyclique comme pour le fumier provenant des déjections d'animaux, il est possible de voir les excréments humains comme une '''ressource''': En respectant de bonnes conditions d'hygiène, ils peuvent être facilement compostés et transformés en un humus sans pathogène, qui n'a plus rien à voir avec les excréments. Pour les antibiotiques (en dehors d'utilisations importantes), les études montrent qu'il n'y a pas d'actions sur le compost de manière durable. Il est important de noter que le fumier animal déjà utilisé, contient à la base les mêmes types de contaminants dont les antibiotiques.
Il est important de ne pas séparer l'urine du solide et de la matière carbonée : la cellulose présente dans la matière carbonée empêche la transformation de l'urée, riche en azote, en ions ammonium (source de mauvaise odeur dans les urinoirs par exemple). Cet effet a une autre conséquence positive très importante : si l'urine était restituée à la nature sans adjonction de cellulose, les ions ammonium se transformeraient en ions nitrites et causeraient une dégradation plus rapide de l'humus, tout l'inverse de l'effet escompté.
Cette problématique est rencontrée dans certains contextes où la récupération d'urine à grande échelle a été pensée pour la création d'engrais.
'''Les excréments une ressource grâce aux toilettes sèches'''
Il existe de nombreux systèmes de toilettes sèches. Ici, le modèle proposé est dit à litière biomaitrisée '''TLB'''. C'est le plus simple des modèles, qui ne nécessite aucune ventilation. Ce modèle est constitué d'un seau en inox qui reçoit les déjections (urine et excrément), le papier toilette ainsi que de la matière végétale carbonée. Que ce soit dans la pièce où sont installées les toilettes, que dans la zone de compostage, très peu d'odeurs sont émises. (En fait pas plus que dans des toilettes à eau.)
'''[http://www.eautarcie.org/05f.html Recette d'un bon compostage]'''
1) Un apport de matière végétale sèche riche en carbone (paille, feuille morte, sciure) 30 fois plus important que l'apport en excréments, riche en azote.
2) Une bonne aération du compost afin que les organismes "aérobies", qui ont besoin d'oxygène, puissent réaliser correctement le travail de décomposition. Les broyats participent à créer un compost bien aéré.
'''Quel confort d'utilisation pour les toilettes sèches?'''
'''+''' : Les TLB ne dégagent pas d'odeurs et ne créer pas de bruits indésirables contrairement aux toilettes classiques.
'''-''' : Les TLB nécessitent de vider le seau régulièrement sur le compost (2 fois/semaine pour une famille de 4).
'''En résumé'''
L'utilisation de TLB permet la réduction de 20% de la consommation en eau de son foyer, donc de sa facture ainsi que la création d'un humus utilisable pour le jardin pour un confort d'utilisation égal voir supérieur aux toilettes classiques.
'''Retrouvez dans [https://lowtechlab.org/assets/files/rapport-experimentation-habitat-low-tech-low-tech-lab.pdf ce rapport] une analyse à l'usage de ces toilettes sèches, ainsi que des 11 autres low-techs expérimentées lors du projet En Quête d'un Habitat Durable'''
<br/><div class="icon-instructions info-icon">
<div class="icon-instructions-icon"><i class="fa fa-info-circle"></i></div>
<div class="icon-instructions-text">L’utilisation de toilettes sèches permet de réduire la consommation en eau de son foyer mais surtout rend possible la gestion des biodéchets comme les excréments. Mais pas que ! L'urine est une ressource gratuite, riche en azote et phosphore, idéale pour la croissance de la spiruline et des plantes. Il est donc possible de fabriquer des toilettes sèches à séparateur d'urine pour rendre possible cette valorisation : http://wiki.lowtechlab.org/wiki/Toilettes_sèches_à_séparation_d%27urine</div>
</div><br/>
In this tutorial, you'll learn how to make a superb banana into a kakemono (communication poster) using a sewing machine.
+Advantages of a farming of edible crickets for humans
<div class="mw-translate-fuzzy">
Nutrition
</div>
Insects are interesting in research of new sources of proteins and offer alternatives to our traditional and non sustainable way of consumption . The cricket's energy intake is 120 kcal/ 100g ( weight when it is fresh) and its average protein content is 8-25g/100g ( weight when it is fresh). The cricket appears to be a really good source of proteins, omega 3 and 6 fatty acids, and minerals: iron, zinc, magnesium, copper,...
<div class="mw-translate-fuzzy">
Ecology/ economy
</div>
Insect farming asks less water and feed than bovine, sheep and pig farming: their feed conversion capacity (the ability of an animal to convert a given weight of feed to body weight, represented in kg feed per kg of weight gain of the animal) is higher than those of the farming mentioned above. For example, it takes 10 kg of feed to produce 1 kg of beef while it takes 1.7 kg of feed to produce 1 kg of crickets.
The amount of greenhouse gases produced by insect farming is significantly less than that of livestock. From a logistical point of view, cricket farming has many advantages over large livestock farming: the area of land occupied is smaller, possible in urban areas. The low need for investment in infrastructure can enable poorer populations to start micro-farming, they can be raised on substrates made up of agricultural waste and fed with organic by-products.
'''Please note''' :
L'élevage qui est réalisé dans ce tutoriel est actuellement en cours de test dans le cadre de l’expédition [http://lowtechlab.org/wiki/Nomade_des_mers Nomade des Mers]
UN TUTORIEL VIDEO EST DISPONIBLE [https://www.brut.media/fr/science-and-technology/voila-comment-fabriquer-une-ferme-a-grillons-71319fc0-a847-49a6-9e55-c9f23408f054 ICI] !
+Fermented food is food that has been transformed by micro-organisms : bacteria, yeasts, fungi. This process usually happens without oxygen, in a anaerobic environment. Microbes multiply normally in the presence of oxygen. But without it, they struggle and produce molecules to fight rival microbes : alcohol, lactic acid, acetic acid. This leads to several types of fermentation : alcoholic, lactic, acetic, etc. Even if we tend to forget it, a lot of our daily food is actually a product of fermentation : bread, cheese, yogurt, wine, beer... It's a long list. Which is a good thing because they are [https://www.dummies.com/food-drink/cooking/fermenting/10-reasons-to-eat-fermented-foods/ beneficial for your health] ! They make food easier to digest, improve your digestive health, contain vitamins and minerals, boost your immune system...
As Virginie Geres reminds us with her website [https://www.happybiote.fr/ HappyBiote], '''without micro-organisms we'd be dead''' ! Quite simply ! We couldn't function without the billions of bacteria, yeasts and other (non-pathogenic) microbes that line our bodies. They carry out important tasks such as protecting us from aggression from other (pathogenic) microbes, allowing us to eat, to have a distinct smell from other people (and therefore making it easier to fall in love when we're not too dirty), they participate in our immune system... And in each of our cells is a microorganism that we have incorporated over the millennia: the mitochondrion, which enables cellular respiration! Watch this [https://www.youtube.com/watch?v=PbaBOpEtHnE super video] to find out more.
So, not only are microorganisms necessary for our survival, but by providing a wide diversity of them through a healthy and varied diet (in particular with foods rich in fibre -<u>prebiotics</u>- and microorganisms -<u>probiotics</u>-) '''we improve our immune and mental health'''. This is the antithesis of modern Western standards, which literally make people ill, not least because of a weak microbiota. For more information I recommend this [https://boutique.arte.tv/detail/microbiote_les_fabuleux_pouvoirs_du_ventre report] from Arte, or [https://www.youtube.com/watch?v=brEKIsETGfw this one] a little older on the same theme.
Many good reasons to eat or drink them regularly (careful not to make it your whole meal though !)
Here are several recipes for no-waste fermented drinks, made from natural micro-organisms. Try out the making of these homemade sodas !
<div class="mw-translate-fuzzy">
More info on fermentation : [https://www.dummies.com/food-drink/cooking/fermenting/10-reasons-to-eat-fermented-foods/] [https://www.heartfoundation.org.nz/about-us/news/blogs/fermented-foods-the-latest-trend]
</div>
More info on natural fermented drinks :
The Wildcrafting Brewer, Pascal Baudar
Crew member on the Nomade des Mers and founder of the Food Forest Lab, Claire Mauquié's [https://www.youtube.com/channel/UCR9X2kfPpfzvyz0I8xytJSg/ Youtube channel]
Fermented foods are foods that have been transformed by micro-organisms: bacteria, yeasts, fungi. This process often takes place without oxygen, in an anaerobic environment. Microbes normally multiply in the presence of oxygen. But when they are deprived of it, they fight back by producing molecules to gain an advantage over competing microbes: alcohol, lactic acid, acetic acid. This gives rise to various types of fermentation: lactic, alcoholic, acetic, etc. Although we sometimes tend to forget it, many everyday foods are in fact fermented: bread, cheese, yoghurt, sauerkraut, saucisson, wine, beer... The list goes on. And that's just as well, because '''their effects are [https://nicrunicuit.com/sante/10-bonnes-raisons-de-manger-des-aliments-fermentes/ beneficial to health] !''' They aid digestion, help the intestines to function properly, are sources of vitamins and minerals, and boost the immune system...
As Virginie Geres reminds us with her website [https://www.happybiote.fr/ HappyBiote], ''without micro-organisms we'd be dead''! Quite simply! We couldn't function without the billions of bacteria, yeasts and other (non-pathogenic) microbes that line our bodies. They carry out important tasks such as protecting us from aggression from other (pathogenic) microbes, allowing us to eat, to have a distinct smell from other people (and therefore making it easier to fall in love when we're not too dirty), they participate in our immune system... And in each of our cells is a microorganism that we have incorporated over the millennia: the mitochondrion, which enables cellular respiration! Watch this [https://www.youtube.com/watch?v=PbaBOpEtHnE super video] to find out more.
So, not only are microorganisms necessary for our survival, but by providing a wide diversity of them through a healthy and varied diet (in particular with foods rich in fibre -<u>prebiotics</u>- and microorganisms -<u>probiotics</u>-) ''we improve our immune and mental health''. This is the antithesis of modern Western standards, which literally make people ill, not least because of a weak microbiota. For more information I recommend this [https://boutique.arte.tv/detail/microbiote_les_fabuleux_pouvoirs_du_ventre report] from Arte, or [https://www.youtube.com/watch?v=brEKIsETGfw this one] a little older on the same theme.
Many good reasons to eat or drink them regularly (careful not to make it your whole meal though !)
Here are several recipes for no-waste fermented drinks, made from natural honey, to try your hand at making these homemade sodas!
'''To find out more about fermentations, I invite you to look at, download and distribute the collection from the 2020 French summit on fermentations, which includes contributions from scientists, chefs and various recipes. You'll find it just below in the "Files" section of the tutorial.'''
Fermented foods are foods that have been transformed by micro-organisms: bacteria, yeasts, mushrooms. This process often takes place without oxygen, in an anaerobic environment. Microbes normally multiply in the presence of oxygen. But when they are deprived of it, they fight back by producing molecules to gain an advantage over competing microbes: alcohol, lactic acid, acetic acid. This gives rise to various types of fermentation: lactic, alcoholic, acetic, etc. Although we sometimes tend to forget it, many everyday foods are in fact fermented: bread, cheese, yoghurt, sauerkraut, sausage, wine, beer... The list goes on. That's a good thing because ''their effects are [https://nicrunicuit.com/sante/10-bonnes-raisons-de-manger-des-aliments-fermentes/ beneficial to health] !''' They aid digestion, help the intestines to function properly, are sources of vitamins and minerals, and boost the immune system...
As Virginie Geres reminds us with her website [https://www.happybiote.fr/ HappyBiote], ''without micro-organisms we'd be dead''! Quite simply! We couldn't function without the billions of bacteria, yeasts and other (non-pathogenic) microbes that line our bodies. They carry out important tasks such as protecting us from aggression from other (pathogenic) microbes, allowing us to eat, to have a distinct smell from other people (and therefore making it easier to fall in love when we're not too dirty), they participate in our immune system... And in each of our cells is a microorganism that we have incorporated over the millennia: the mitochondrion, which enables cellular respiration! Watch this [https://www.youtube.com/watch?v=PbaBOpEtHnE super video] to find out more.
So, not only are microorganisms necessary for our survival, but by providing a wide diversity of them through a healthy and varied diet (in particular with foods rich in fibre -<u>prebiotics</u>- and microorganisms -<u>probiotics</u>-) ''we improve our immune and mental health''. This is the very opposite of modern occidental standards, which make people literally ill, among other things because of a weak microbiota. For more information I recommend this [https://boutique.arte.tv/detail/microbiote_les_fabuleux_pouvoirs_du_ventre report] from Arte, or [https://www.youtube.com/watch?v=brEKIsETGfw this one] a little older on the same theme.
All good reasons to eat them regularly (but be careful not to eat just that!).
Here are several recipes for no-waste fermented drinks, made from natural micro-organisms. Try out the making of these homemade sodas !
'''To find out more about fermentations, I invite you to look at, download and distribute the collection from the 2020 French summit on fermentations, which includes contributions from scientists, chefs and various recipes. You'll find it just below in the "Files" section of the tutorial.'''
The recipes proposed here are vegan (i.e. without animal proteins), but anyone can use them in their cooking to diversify their diet and seek out new culinary discoveries! The recipes chosen here aim to give you a visual and taste experience similar to that of dishes containing animal proteins. It's a choice that may make life easier for those around you (if they're non-vegan), but it also raises moral questions (why try to reproduce meat or cheese when it's not?) and often requires more effort than very good plant-based recipes (because the search for similarity is difficult to achieve depending on the raw materials used).
Thus, use this tutorial as a toolbox to reproduce vegan foods that imitate meat-based foods, but don't hesitate to quit the pattern of of reproducing "fake" animal proteins.
Le Costa Rica est bien connu pour son incroyable biodiversité ainsi que sa politique environnementale qui a su protéger la nature (presque ⅓ du territoire est protégé) pour la mettre au profit du tourisme. Malgré son image “verte”, le Costa Rica possède une agriculture très conventionnelle et est le premier utilisateur de pesticides au monde.
Convaincues de l'efficacité de pratiques alternatives non chimiques, des fermes biologiques se développent. La Finca Vocaré d'Ernesto et Leslie près d’Upala est l'une d'entre elles. Cela fait 15 ans qu'ils y cultivent toutes sortes de fruits, légumes et aromates en utilisant des techniques plus respectueuses de l'environnement :
* association de plantes : pour que les propriétés d'une plante profitent aux autres. Par exemple, les plantes aromatiques ont des propriétés répulsives : leur odeur forte éloigne les nuisibles, les légumineuses enrichissent le sol en azote.
* rotation des cultures : pour éviter l'épuisement des sols, favoriser la régénération d’une grande diversité de nutriments, réduire le risque d'installation de maladies
* couverture au sol : ne pas laisser la terre à nu et vulnérable mais la couvrir de feuilles, d'herbe coupée, de paille pour la protéger de l'érosion, conserver l'humidité et la température
* fertilisants et répulsifs naturels : en utilisant des microorganismes comme bio-contrôleurs.
L'objectif des répulsifs n'est pas, contrairement aux pesticides, de tuer les insectes mais d’éloigner ceux qui sont nuisibles. Pour protéger les plantes, on cherche à favoriser le développement de bactéries (comme les ''Bacillus'' ''thuringiensis'' ou les ''Pseudomonas)'' et de champignons (comme les ''Trichoderma sp,'' ''Metarhizium ou Beauveria bassiana)''. Ils joueront le rôle de “contrôleurs” qui vont combattre les mauvais champignons et les maladies et repousser les insectes nuisibles.
La terre est composée de 4 éléments principaux:
* Des microorganismes (microscopiques donc)
* Des organismes (lombric, vers..)
* Des nutriments (venant de la décomposition d'organismes vivants)
* Des minéraux (venant des pierres)
Les plantes ont besoin de ces 4 éléments pour pousser, c'est pourquoi chacun d'entre eux est présent dans les recettes de fertilisants et parfois de répulsifs.
Le “Programa Nacional de Agricultura Organica” de la région met en place des visites dans chaque ferme biologique pour former les agriculteurs à la fabrication de ces fertilisants et répulsifs naturels. À l'instar du Bokashi (“matière organique fermentée” en japonais, voir tuto sur le LTL : [[Compost Bokashi de cuisine|http://lowtechlab.org/wiki/Compost_Bokashi_de_cuisine]]), la plupart de ces recettes viennent du Japon.
Chaque recette peut être adaptée selon les ingrédients disponibles dans la région, notamment les fruits, la mélasse peut être remplacée par du miel, du sucre, de la mélasse de betterave à sucre, ...
Le Costa Rica est bien connu pour son incroyable biodiversité ainsi que sa politique environnementale qui a su protéger la nature (presque ⅓ du territoire est protégé) pour la mettre au profit du tourisme. Malgré son image “verte”, le Costa Rica possède une agriculture très conventionnelle et est le premier utilisateur de pesticides au monde.
Convaincues de l'efficacité de pratiques alternatives non chimiques, des fermes biologiques se développent. La Finca Vocaré d'Ernesto et Leslie près d’Upala est l'une d'entre elles. Cela fait 15 ans qu'ils y cultivent toutes sortes de fruits, légumes et aromates en utilisant des techniques plus respectueuses de l'environnement :
* association de plantes : pour que les propriétés d'une plante profitent aux autres. Par exemple, les plantes aromatiques ont des propriétés répulsives : leur odeur forte éloigne les nuisibles, les légumineuses enrichissent le sol en azote.
* rotation des cultures : pour éviter l'épuisement des sols, favoriser la régénération d’une grande diversité de nutriments, réduire le risque d'installation de maladies
* couverture au sol : ne pas laisser la terre à nu et vulnérable mais la couvrir de feuilles, d'herbe coupée, de paille pour la protéger de l'érosion, conserver l'humidité et la température
* fertilisants et répulsifs naturels : en utilisant des microorganismes comme bio-contrôleurs.
L'objectif des répulsifs n'est pas, contrairement aux pesticides, de tuer les insectes mais d’éloigner ceux qui sont nuisibles. Pour protéger les plantes, on cherche à favoriser le développement de bactéries (comme les ''Bacillus'' ''thuringiensis'' ou les ''Pseudomonas)'' et de champignons (comme les ''Trichoderma sp,'' ''Metarhizium ou Beauveria bassiana)''. Ils joueront le rôle de “contrôleurs” qui vont combattre les mauvais champignons et les maladies et repousser les insectes nuisibles.
La terre est composée de 4 éléments principaux:
* Des microorganismes (microscopiques donc)
* Des organismes (lombric, vers..)
* Des nutriments (venant de la décomposition d'organismes vivants)
* Des minéraux (venant des pierres)
Les plantes ont besoin de ces 4 éléments pour pousser, c'est pourquoi chacun d'entre eux est présent dans les recettes de fertilisants et parfois de répulsifs.
Le “Programa Nacional de Agricultura Organica” de la région met en place des visites dans chaque ferme biologique pour former les agriculteurs à la fabrication de ces fertilisants et répulsifs naturels. À l'instar du Bokashi (“matière organique fermentée” en japonais, voir tuto sur le LTL : [[Compost Bokashi de cuisine|http://lowtechlab.org/wiki/Compost_Bokashi_de_cuisine]]), la plupart de ces recettes viennent du Japon.
Chaque recette peut être adaptée selon les ingrédients disponibles dans la région, notamment les fruits, la mélasse peut être remplacée par du miel, du sucre, de la mélasse de betterave à sucre, ...
'''Thèmes''' : alimentation, énergie, recyclage, réemploi, gestion des déchets
'''Niveau scolaire''' : primaires (et +)
'''Disciplines''' : (à adapter selon le niveau)
· Mathématiques, géométrie : utilisation de la règle et de l’équerre, tracés, mesures
· Physique : rayonnement solaire, effet de serre, énergie
· Chimie : colle à base de farine et d’eau
· Cuisine
· Histoire : feu, cuisson à travers les époques
'''Durée de l’atelier :''' une matinée +
Le matin : introduction + construction + cuisine
Avant le déjeuner : mettre les gâteaux mis au four
En fin d’après midi : goûter - dégustation des gâteaux solaires
+Cette fiche tutorielle s’inscrit dans le cadre de la documentation d’une série d’ateliers de construction de différentes low-tech autour de la thématique de la précarité énergétique. Elle vise à partager l’expérience d’animation et de préparation acquise lors de ce projet. Vous pouvez retrouver l’ensemble des informations autour du projet et les autres supports de documentation ici (lien vers le blog du Low-tech Lab).
Ce premier atelier a pour objectif de présenter aux potentiel·le·s futur·es participant·es le projet de mener un cycle d’ateliers de construction de low-tech autour de l’habitat et de la consommation d’énergie. En amont de l’atelier, une veille a été menée afin de proposer plusieurs technologies simples qui pourraient être réalisées ensemble lors de ces temps animés. L’objectif de cet atelier est donc de choisir collectivement, en fonction des envies et besoins, parmi cette veille vers quelles low-tech vont porter les ateliers. Afin de faciliter l’animation, plusieurs outils pédagogiques ont été conçus.
+Cette fiche tutorielle s’inscrit dans le cadre de la documentation d’une série d’ateliers de construction de différentes low-tech autour de la thématique de la précarité énergétique. Elle vise à partager l’expérience d’animation et de préparation acquise lors de ce projet. Vous pouvez retrouver l’ensemble des informations autour du projet et les autres supports de documentation ici (lien vers le blog du Low-tech Lab).
Un réflecteur de radiateur est un panneau (ou film), placé contre le mur derrière le radiateur, permettant de renvoyer par rayonnement la chaleur émise par le radiateur dans la pièce qu’il chauffe. Il évite ainsi que celle-ci soit “perdue” en chauffant le mur et l’extérieur de l’habitat. Il permet donc des économies de chauffage et un meilleur confort !
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Pour co-construire un cycle d’atelier et son programme, il est nécessaire d’avoir défini plusieurs paramètres : Combien d’ateliers peuvent être réalisés ? Quels sont la durée et le format de ces ateliers? Combien de temps et nombre d’ateliers sont nécessaires pour construire chacun des systèmes envisagés ? etc.
Il est préférable d’avoir défini ces éléments avant le premier atelier pour co-construire sur cette base. Cependant, dans une démarche expérimentale, il est aussi possible de lancer un premier atelier et d’ajuster l’organisation par la suite.
Cette fiche propose un retour d’expérience sur le second atelier de co-construction du programme du projet réalisé (cf Fiche atelier 1). Elle présente un outil support mis au point par le Low-tech Lab Grenoble, le format d’animation en lien, ainsi que des conseils et se termine par l’animation d’un petit temps de bricolage.
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La couverture isolante pour chauffe-eau (ou ballon d’eau chaude) permet de renforcer l'isolation de ce dernier en l’habillant d’une épaisseur supplémentaire à l’extérieur. Elle évite ainsi que de la chaleur s’échappe et le système consomme alors moins d’énergie
en réchauffant l’eau.
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Un garde-manger est un meuble permettant de mieux conserver les fruits et légumes en leurs offrants des ambiances de conservation adaptées à leurs besoins, le tout
sans consommer d’électricité !
La version présentée ici est une conception et adaptation réalisée à partir de différents tutoriels dont celui du Low-tech Lab (cf ''Notes et références'').
Cette low-tech demandant un peu de temps de construction, le format d’animation expérimenté a été réparti en deux ateliers de 2 heures. Libre à vous de réadapter ce format en fonction du temps dont vous disposez et du contexte.
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